Ce documentaire, dont les 2 bandes-annonces originales ont été faites dans l'urgence en soutien à la militante innue Jeannette Pilot alors détenue en octobre 2016 en tant que prisonnière politique en représailles de sa lutte contre l'hégémonie d'Hydro-Québec et de la corruption pédophile au sein du conseil de bande, veut raviver le pacte issu de l'entente historique de coopération et d'amitié entre les Peuples de la Nouvelle-France et ceux des Premières Nations, La Paix des Braves, contre l'hégémonie de l'occupant britannique, qui maintient toujours en vigueur aujourd'hui le « Cadre Colonial » l'ayant poussé dans le passé (et le pousse toujours aujourd'hui) à appliquer plus ou moins ouvertement une politique de génocide envers les Premières Nations au Canada et au Québec tout en prétendant agir pour leur bien et en feignant l'ignorance lorsque les scandales éclatent. Cette réalité du « Cadre Colonial Canadien » toujours actif aujourd'hui (tel que nous le rappelait en 2013 le juge Murray Sinclair, président de la Commission de Vérité et Réconciliation du Canada, en affirmant que «Bien que les pensionnats (indiens) aient tous fermé leurs portes (en 1996), le cadre colonial dans lequel ils s’inscrivaient n’a pas été démantelé») devrait également interpeller les souches francophones du Canada, y inclut et surtout au Québec, car le concept de « Cadre Colonial » au Québec ne peut faire autre chose que de faire résonner un retentissant écho avec le Rapport Durham, rédigé en 1840 suite aux rébellions des Patriotes de 1837-1838, et qui en arrivait à la conclusion que "le retrait des libertés des Canadiens-Français ainsi que l'accélération de l'immigration" sont des moyens à utiliser "afin de marginaliser la population originaire de Nouvelle-France, pour la forcer ainsi à choisir la voie de l'assimilation linguistique et culturelle", ce qui crée ni plus ni moins qu'un système de caste incrusté au sein de la société où tous ne sont pas forcément égaux devant la loi, malgré les prétentions du système à cet effet. Tout Peuple dôté d'un minimum de sens d'auto-préservation et d'auto-détermination devrait se sentir directement interpellé par une telle volonté ouvertement affichée par un autre Peuple de mettre en place les moyens nécessaires pour vouer à sa disparition culturelle collective.
Au-delà des similitudes frappantes concernant les représailles livrées par les institutions de l'État subies par ceux et celles qui dénoncent la corruption liée à la pédophilie d'élite et le trafic d'enfants opéré par les services de présumée protection de l'enfance (DPJ) telles que permettent de constater la mise côte-à-côte des histoires de Jeannette Pilo et celle de Chantal Mino ps.éd., toutes deux dénonçant une personne coupable de gestes pédophiles ayant une position d'autorité sur la police dans leur entourage (Mike McKenzie, chef du conseil de bande de Uashat-Maliotenam (verdict a être rendu le 5 janvier 2018); et Gilles Deguire, maire de Montréal-Nord (à l'époque), ex-policier du SPVM en charge d'enquêter sur les crimes sexuels sur mineurs, ex-attaché politique de Lyne Beauchamp), police qui procède pourtant systématiquement à l'arrestation de la personne dénonciatrice sur la base d'accusations-bidon, accusations-bidon auxquelles le tribunal accordera suffisamment de crédibilité pour justifier à ses yeux l'emprisonnement arbitraire et sans procès d'une personne pourtant supposément présumée innocente jusqu'à preuve du contraire selon de Droit en vigueur au Canada. L'aspect systémique de ces négations de droits systématiques démontrées jusqu'au sein des instances judiciaires laisse suggérer un niveau d'influence supérieure à l'oeuvre autre que celle que l'on pourrait normalement attribuer à de simples hauts-fonctionnaires municipaux en charge d'agglomérations urbaines de plus ou moins grande envergure. L'écho de plusieurs scandales impliquant des mauvais traitements policiers envers des femmes autochtones de Val D'or, ainsi que celui des femmes autochtones disparues où la police néglige systématiquement d'enquêter, nous ramènent également vers les paroles du juge Sinclair, ce qui nous incite à explorer davantage la signification profonde de ce qu'est, concrètement, ce fameux « Cadre Colonial ».
En regardant à travers notre histoire collective répertoriée à travers des scandales tels que les pensionnats indiens et les orphelins de Duplessis et encore jusqu'à aujourd'hui à travers les activités de la DPJ, on se rend compte que «l'État», tout au long de l'Histoire du Canada, est l'entité qui s'en prend systématiquement à l'avenir et au développement des Peuples autochtones et francophones en imposant une politique de kidnapping sur une part significative de ses enfants, dont le retrait subit et injustifié du milieu familial laisse des stigmates identitaires au moins aussi marquantes et handicapantes au niveau social que les mutilations physiques sur enfants dans un système de caste en Inde. Et que l'on analyse le phénomène sous l'angle de l'Histoire Classique du Canada, que l'on remonte le fil de l'argent et de la finance, que l'on contemple la source de l'autorité politique en vigueur, que l'on remonte la filière du réseau pédophile d'élite internationale ou celle des sociétés secrètes liées à la Franc-Maçonnerie (comme l'Ordre du Temple Solaire, par exemple, qui gangrène encore Hydro-Québec), ou encore en analysant la chose sous l'angle du Nouvel Ordre Mondial, toutes ces pistes remontent à un seul et même endroit, à Londres, et pointent toutes en direction de la Couronne, la Famille Royale et la Famille Rothschild au sommet. Sans grande surprise, finalement, car si « Cadre Colonial » il y a au Canada, il ne peut logiquement venir que de là.
C'est justement en prenant en compte toutes ces dimensions de ce qu'est la réalité du « Cadre Colonial » que l'on commence à bien en comprendre ses rouages et son évolution au fil des années, et également le rôle important que joue la police dans l'application quotidienne de ce "cadre" qui va pourtant à l'encontre des lois supposément en vigueur, lois que la police a supposément comme rôle de faire appliquer et respecter. Au moment où l'on se demande comment de telles choses peuvent survenir de la part même de la police, au "plusse meilleur pays du monde" et au pays de la Charte des Droits et Libertés de Trudeau, il est sage de se rappeler ce vieux proverbe amérindien : « Tunique Rouge a langue fourchue ». Un retour sur l'Histoire de la création de la Sûreté du Québec nous ramène directement en 1840, à st-Eustache et à St-Denis (et donc, au Rapport Durham), avec la création de la "première police gouvernementale au Québec, composée principalement de milices anglaises, structurée de manière militaire selon un modèle sur lequel est toujours basé la SQ aujourd'hui". Il serait donc plus juste de décrire la police comme étant une extension para-militaire d'infanterie légère affiliée à l'armée canadienne au service de l'empire britannique plutôt que comme une institution vouée à la protection du public et à l'application des lois. L'influence subversive observée et documentée de la part même de membres influents des services de police peuvent même laisser croire à l'existence d'un réseau opérant tel une organisation de services secrets clandestine similaire à la CIA qui ne possède pas d'existence officielle mais opérant au Québec à travers même certains services-clés des institutions policières remontant jusqu'au Ministère de la Défense Nationale (donc, l'Armée Canadienne), tel que nous le révélons à travers un scoop sous forme d'appel téléphonique enregistré incriminant de la part d'un individu dont l'identité réelle est plus surprenante que ce qu'elle ne laisse croire au début, ce qui amène une lumière des plus éclairantes à de nombreuses disparitions de personnes qui sont toujours non élucidées à ce jour. Et aussi de réaliser l'influence indue de la police au sein d'autres institutions publiques, tel qu'Hydro-Québec. Cette omniprésence dans les mêmes lieux de présence policière et de Franc-Maçonnerie au sein d'institutions publiques se livrant ouvertement à du harcèlement envers la population à travers des méthodes dites "subversives" et la similitude de ce même schéma ailleurs dans les pays faisant partie de l'ancien empire britannique amène une vision plus globale de l'activité réelle de la police au Canada et son rôle au sein de la mise en application du « Cadre Colonial ». Parce que comme l'a si bien dit Martin Prud'Homme, ex-sous-ministre de la Sécurité Publique du Québec nommé le même jour Directeur de la Sûreté du Québec pour ensuite suspendre son nouveau mandat le temps de remplir un intérim en tant que Directeur du SPVM à l'heure où les scandales impliquant la police se succèdent à un rythme effréné (et que la SQ enquête sur les Affaires Internes du SPVM pendant que le SPVM enquête sur les allégations visant la SQ à Val D'Or, le tout dans un pur esprit "d'indépendance des enquêtes judiciaires") : « Il faut que les gens comprennent ce qu’on fait. »
Pendant ce temps, les médias et les politiciens font semblant d'être surpris lorsque la Loi du silence est brisée. Ils ne sont pourtant que le paravent pseudo-démocratique cachant au reste de la société ce qui se passe réellement et QUI dirige le show en réalité.
Un documentaire-choc basé sur la communauté de destin à laquelle font face le Peuple Québécois (et francophones hors-Québec) et les Peuples des Premières Nations au Canada, sans fard et sans voile. Une problématique qui affecte également les nouveaux arrivants, parce qu'eux aussi soumis aux contraintes d'esclavage du « Cadre Colonial ».
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