Documentaire construit en trois blocs complémentaires, ce film explore et démontre, à travers entre autre l'audience en récusation de Me Serge Vermette alors Président des conseils de discipline des ordres professionnels lors des audience de radiation illégale de l'OPPQ envers Chantal Mino ps.éd. et où celle-ci témoigne des diverses apparences de conflits d'intérêts avec la firme d'avocats Monette Barakett et Associés, et de recoupage avec d'autres éléments tirés des actualités des dernières années, les liens d'influence de la firme Monette Barakett et Associés au fil des décennies au sein des institutions publiques, et notamment impliquée activement dans la défense systématique des institutions de santé et des services sociaux ainsi que dans les conseils de discipline des ordres professionnels, quitte à bafouer le serment d'office des avocats les obligeant à remplir "les devoirs de la profession d'avocat avec honnêteté et justice" en utilisant de moyens illégaux et criminels dans le but systématique de camoufler des scandales commis au sein de ces institutions, et ce à l'encontre du bien-être du public Québécois.  

Cette analyse des liens d'influence et des pratiques criminelles de la firme Monette Barakett et Associés, et d'une manière plus large, de la famille Barakett elle-même, nous amène à déterrer quelques squelettes remontant à rien d'autre que la fameuse Enquête Scorpion sur la prostitution juvénile à Québec qui fut stoppée par ingérence politique de Jean Charest lorsqu'il est devenu évident que des avocats, des juges et des ministres étaient impliqués dans ce scandale, ainsi qu'un lien direct non-équivoque avec la famille Rothschild.

Dans un deuxième temps, nous démontrons le fonctionnement pseudo-légal du réseau de kidnapping et de trafic d'enfants opéré par les services de protection de l'enfance à travers divers pays dans le monde, incluant le Québec, avec données statistiques à l'appui, et comment les actions illégales de firmes d'avocats telle que Monette Barakett et Associés contribuent à maintenir en place ce réseau étatique international de trafic d'enfants, entre autre en opérant ni plus ni moins qu'une forme de harcèlement judiciaire envers les lanceurs d'alertes, harcèlement toléré et même encouragé et aidé par les institutions judiciaires, dont les ordres professionnels, les tribunaux administratifs, la Cour du Québec, la Cour supérieure du Québec, la Cour d'appel du Québec, etc., celles-là même où siègent des juges et des avocats pédophiles impliqués dans le scandale Scorpion et qui non seulement sont demeurés impunis, mais sont demeurés en poste, voire même récompensés, plaçant ainsi la totalité de l'intégrité du système judiciaire dans une situation intenable, où le mot d'ordre principal qui y règne est «Se protéger mutuellement et se servir», le tout entériné par la classe politique et médiatique qui étaient elles aussi impliquées au sein de l'Enquête Scorpion.

Une fois n'est pas coutume, et cette "fois", c'est "la fois" où nous nous abaissons au même niveau (surtout intellectuel, ce qui a demandé tout de même un certain effort de notre part) que nos "détracteurs" (pour ne pas dire des "trolls") qui se manifestent ici et là au "hasard" de nos publications dans le but évident de semer le doute concernant la crédibilité du contenu présenté au sein de nos documentaires et autres affiches textuelles et graphiques, qui comporteraient également la tare générale de "contenir trop d'informations" à en croire certains.  Ce sera aussi "la fois", donc, où nous prendrons la peine de répondre, le plus sommairement du monde et avec le plus de "rigueur" que possible, à un spécimen mâle et un femelle de cette espèce nuisible en prolifération dans la cybersphère (c'est le printemps après tout, ils doivent être en rut), en traitant les échantillons de commentaires prélevés sur nos médias sociaux avec toutes les précautions requises associées à la manutention environnementalement sécuritaire d'une matière aussi toxique.  C'est donc ainsi, et nous répétons encore qu'une fois n'est pas coutume, que nous en sommes rendu à répondre, le plus sérieusement du monde et avec toute la "rigueur" que l'on exigerait d'un journaliste chevroné, à une question aussi fondamentale et existentielle que « La Franc-Maçonnerie est-elle une ligue de pétanque? », le tout sur le ton le plus léger possible.

Le résultat, franchement hilarant, tient plus de la comédie éducative que du documentaire humoristique à proprement parler, celà dû en grande partie à un fort emprunt aux techniques de cinéma remontant à l'époque des films muets, tout en démontrant la futilité profonde que de perdre son temps à répondre en long et en large à de tels cyber-lutins ou même de porter un quelque intérêt concernant leur opinion à notre égard.

Argument massue qui devrait mettre un terme une fois pour toute à tout débat concernant le fameux virus qu'il ne faut pas prononcer. Toutes les données présentées au sein de ce vidéo sont tirées de sources officielles et dites "d'autorité".