Argument massue qui devrait mettre un terme une fois pour toute à tout débat concernant le fameux virus qu'il ne faut pas prononcer. Toutes les données présentées au sein de ce vidéo sont tirées de sources officielles et dites "d'autorité".  Version courte/bande-annonce de la version complète.

Considérant un nombre croissants de circonstances particulières à l'échelle géopolitique internationale et locale, considérant la nature et la puissance des acteurs en jeu ainsi que les méthodes subversives (incluant l'utilisation d'agents infiltrateurs/provocateurs) pratiquées par l'establishment de l'Empire Britannique (aujourd'hui mieux connu sous le nom de "Commonwealth") pour maintenir son emprise politique malsaine non seulement au Québec et au Canada, mais également sur les États-Unis (ayant mal digéré l'affront de 1776) et le reste de la planète à travers la puissance militaire de ceux-ci et à travers le serment maçonnique où la puissance militaire n'est pas nécessaire, et considérant la nature scandaleuse par laquelle l'appareil du Deep State nord-américain est sur le point d'être démantelé de manière juridique qui est propice à créer un mouvement de panique au sein des élites financières globalistes loyaux au serment maçonnique les liant au maintien de la domination Britannique mondiale, vu la nature intimement liée à ces scandales états-uniens qui ont éclaté récemment ou sont sur le point d'éclater dans un futur rapproché avec notre propre matériel d'enquête journalistique couvrant les mêmes phénomènes ici au Québec et vu la propension naturelle des institutions politiques et publiques Canadiennes et Québécoises de balayer ce genre de choses sous le tapis mine de rien, quitte à jeter en prison des innocents; dont entre autre :

Version vidéo de la publication Facebook censurée d'Adam Richard d'AIDEF-Télé en réaction suite à l'annonce par Ian Lafrenière de la CAQ de sa volonté de mettre sur pied une Commission Parlementaire Spéciale sur la prostitution juvénile. Alors même qu'ils prétendent vouloir faire la lumière là-dessus, apparemment que ce qu'Adam Richard avait à dire sur Facebook ce jour là concernant ce sujet est considéré "indésirable". Indésirable... Ça dépend pour qui! À vous de juger!

Cet article ne se veut qu'être un précurseur du matériel qui sera présenté au sein de notre 4ième documentaire sur le scandale #PizzaGate et dont le but est de démontrer quelques-unes des nombreuses ramifications entre le réseau pédocriminel présumé associé au hashtag #PizzaGate entourant l'establishment politique (et particulièrement Démocrate) de Washington D.C. et les autres réseaux pédocriminels identifiés un peu partout sur la planète, dont ici au Québec par nos bons soins tel que catalogué et documenté à travers ce site, et que finalement tous ces "réseaux locaux" ou "régionaux" de pédocriminalité finissent par se rejoindre aux plus hauts échelons pour finir par ne former qu'un seul méga-réseau pédocriminel international (un peu de la même façon que, techniquement, Internet est un méga-réseau formé d'une multitude de sous-réseaux de taille beaucoup plus modeste) tel que nous avons déjà commencé à le démontrer à travers quelques-uns de nos documentaires.  Le but avoué de ce futur documentaire, déjà annoncé sous le titre de "PizzaGate 4 : La Connexion Canadienne-Française". est justement de démontrer la pertinence, d'un point de vue strictement Québécois, de porter attention à ce qui se passe concernant les dossiers de pédocriminalité "d'élites" aux États-Unis (et ailleurs) de par leur proximité très rapprochée avec les réseaux pédocriminels opérant au Québec (de manière prédominante, la DPJ, avec tout l'appareil d'État qui se porte systématiquement à sa défense inconditionnelle, quitte à commettre d'autres crimes à cette fin malgré leur vocation première de faire respecter la loi), et il n'est pas question de proximité géographique ici mais bien de proximité relationnelle entre les diverses têtes dirigeantes/bénéficiaires de ces réseaux qui occupent pour la plupart des postes de pouvoir au sein de la société civile et privée.  Et que du fait de cette étonnante mais flagrante proximité entre individus de pouvoir de zones géographiques et de régimes politiques différents quoique rapprochée en lien avec le phénomène des réseaux pédocriminels vient démontrer la justification de porter un tel intérêt sur ce qui se passe au sud de la frontière concernant ce sujet explosif.

L'un de ces principaux liens que le documentaire se proposait originalement d'explorer (et c'est toujours le cas d'ailleurs) concerne l'extraordinaire "coïncidence" nous permettant de connecter une partie de l'histoire de la création de l'empire Québécor de Pierre Péladeau, aujourd'hui dirigé par son fils Pierre Karl qui a je le rappelle également tenté un bref saut en politique, avec ni plus ni moins que le père de la proxénète ("pimp") officielle de Jeffrey Epstein, milliardaire pédophile reconnu ayant purgé une sentence de prison bonbon pour quelques-uns de ses crimes pédophiles commis sur son île privée surnommée "Lolita Island" par les invités de marque qui y sont invités, dont Bill Clinton et son ami personnel le Prince Andrew (le petit frère du Prince Charles, premier héritier au trône d'Angleterre et du Royaume-Uni ainsi que du Commonwealth).  Bien que cette simple connexion relationnelle au deuxième degré ne prouve en rien d'un hypothétique acte associé directement à du trafic sexuel de mineurs de la part de l'héritier Péladeau, d'autres éléments circonstanciels peuvent tout de même nous amener à penser qu'au minimum, il serait raisonnable de croire que Pierre Karl Péladeau pourrait avoir suffisamment de conflit d'intérêts sous forme de loyautés mal placées, jumelée à cette étonnante proximité avec l'un des faits officiellement admis les plus marquants du #PedoGate au cours des 20 dernières années dans son pedigree familial, au point de voir à ce que les contenus publiés au sein de ses organes de presse ne portent pas trop ombrage aux intérêts du réseau pédocriminel, qui implique, nous tenons à le souligner, des personnes influentes du point de vue financier, judiciaire et politique, Péladeau détenant une grande part du pouvoir médiatique au Québec, l'autre majeure partie étant sous contrôle ouvertement affiché comme fédéraliste (autrement dit, en faveur du statu quo concernant le "cadre colonial" toujours en vigueur au Canada, selon les paroles même du juge Murray Sinclair), ce qui expliquerait d'une part la perte de crédibilité notable perçue récemment chez la plupart des mérdias de masse, mais également l'inexplicable support de ces organes de presse supposément "sérieux" qui donne crédibilité à l'aide d'une couverture médiatique d'une ampleur inexplicable offerte à de purs charlatans prétendument "enquêteur anti-corruption" et/ou "infirmière polytoxicomane (avec un prétendu diplôme de l'université du Québec à Montréal qui ne donne pas cette formation)" auto-proclamés pourtant complices de la DPJ et de la police tel que dénoncé et documenté preuves à l'appui depuis déjà nombre d'années, allant même jusqu'à surfer sur la vague d'outrage populaire causé par un drame humain insensé et évitable pour se faire de l'auto-promotion, de l'argent et par la même occasion tenter de redorer le blason des institutions de l'État (la police en tête) qui sont pourtant en charge d'opérer ce réseau pédocriminel qui vient de réclamer la vie de cette petite victime; support "inexplicable" de ces mérdias envers ces charlatans patentés alors même que ces même mérdias se sont évertués, depuis 2013, soit à totalement nous ignorer (et par "nous ignorer" je veux réellement dire "ignorer le contenu présentant les preuves de graves crimes perpétrés par l'État envers des familles vivant au Québec, avec des enfants en première ligne au rang des victimes, que nous avons produit et publié") ou de salir nos réputations sur la base "d'informations" non vérifiées et non confirmées alors même que nous étions en prison (et donc incapable de fournir réponse adéquate) et ce sans procès au sein de ce qui peut n'être décrit que comme un bordel procédural sans nom (et au cours duquel aucune plainte n'a officiellement été déposée contre Chantal Mino) pour la seule et unique raison de nous forcer à mettre fin à la publication de nos révélations-chocs à l'aide de caméras et enregistreuses audio cachées sur les rouages internes du réseau pédocriminel tels qu'ils se déroulent quotidiennement au sein des palais de justice à travers le Québec et qui constitue la base de l'enquête rendue publique que nous avons mené, chose que nous faisions (et faisons encore, même si on a adapté nos méthodes en fonction de l'environnement hostile dans lequel nous évoluons) pour nous protéger lors de nos démarches visant à aider une mère à récupérer ses enfants qui ont été kidnappés par la DPJ en passant par les tribunaux.  Elle n'a toujours pas récupéré ses enfants à ce jour, et à depuis subi un "accident" de voiture qui a été planifié par autrui et qui l'a laissée paralysée et amputée des deux jambes, et ce dans l'anonymat le plus total malgré nos efforts pour médiatiser son cas face à l'opinion publique.

Il faut également mentionner l'opération de mascarade politique qui s'apprête elle aussi à récupérer cette tragédie dans le but de se faire du capital politique tout en faisant semblant de faire le ménage en profondeur qui s'impose pourtant, alors que le tout nouveau parti politique flambant neuf de la CAQ, presqu'entièrement fait de matières recyclées à partir des rebuts issus des partis politiques traditionnels, s'apprêtera à faire une "enquête publique" (à huis clos en toute confidentialité ...!?!) pour faire la lumière sur cet incident et également sur les agissements de la DPJ, et qui, au final, ne devrait aboutir à rien d'autre que de simples recommandations superficielles (qui ne seront probablement pas suivies de toute façon, tel que le démontre le précédent de la Commission Gagnon en 1989) et probablement la désignation de quelques boucs-émissaires (qui seront certainement les parents de cette enfant qui n'ont pas du tout été aidés, mais plutôt abusés eux aussi, étiquetés, détruits, stigmatisés et ostracisés, et qui seront déclarés "malades mentaux" et en rétablissement seulement pour le père et sa conjointe qui ont causé la mort de cette enfant vu que de commettre un crime est le passage à l'acte d'un début d'une thérapie selon les fonctionnaires pervers du judiciaire de ce réseau pédocriminel ... et pour ces mêmes fonctionnaires, le fait de se prendre en main et de refuser d'être complice en action et/ou en inaction et de les dénoncer avec preuves irréfutables à l'appui relève cependant d'un refus de collaboration, d'une "Théorie du complot" délirant relevant de la "maladie mentale" et de la "quérulence", préjugés calomnieux validés par les comportements abracadabrants de leurs divers complices fausses victimes et/ou faux activistes illuminés qui sont constamment diffusés par leurs mérdias pour discréditer les vraies victimes et les vraies activistes en défense des droits humains que les mérdias ignorent sciemment ... la mère aimante de cette enfant qui en a été privée injustement et sadiquement  depuis des années à cause da la DPJ qui l'a détruite au lieu de l'outiller et de l'aider et préserver ce lien familial vital, est celle qui sera la plus jugée témérairement, attaquée, calomniée et harcelée en privé et publiquement afin de tenter de l'envoyer vers le suicide et pouvoir ainsi lui voler sa vie et ses trois autres enfants, ce qui va découler par la suite encore sur tous les enfants du Québec et leur famille naturelle qui subiront encore plus de crimes et de harcèlement criminel judiciaire de la part de la DPJ et des ses complices afin de détruire les familles du Québec et pouvoir éliminer la souveraineté des Nations du Québec aux profits de l'oligarchie franc-maçonne, dont la Reine d'Angleterre) qui porteront le fardeau de la responsabilité directe dans ce qui ne sera en fin du compte qu'un simple cas particulier parmi malheureusement tant d'autres cas similaires toujours gardé sous silence, et fera tout simplement fi de la triste mais vraie réalité concernant l'étendue réelle du problème en cherchant justement à cacher subrepticement cette même réalité, à savoir celle démontrée au sein de nos vidéos accumulés depuis maintenant presque 6 ans : la DPJ enlève des enfants de leur famille sous de faux-prétexte afin d'alimenter le réseau pédophile et de prostitution juvénile (en réalité, d'esclavage sexuel sur mineurs) ainsi que le lucratif marché grandissant des demandes d'adoption, particulièrement depuis l'acceptation sociale et légale des couples gais au point de vue conjugal, ceux-ci évoquant régulièrement le désir humain naturel d'avoir des enfants mais étant de toute évidence confrontés à la réalité biologique de l'incompatibilité de leur orientation sexuelle vis-à-vis la procréation, sans parler de tout le système de famille d'accueil qui vise des enfants considérés de "familles à faibles revenus" qui seront par la suite facturés pour les "services" associés au retrait familial de leur enfant tout en subventionnant à haut prix la famille d'accueil qui prendra en charge ce même enfant.  Dans le cas de figure que je viens de décrire, une politique familiale saine (et même recommandée)  viserait tout d'abord à maintenir l'enfant dans sa famille naturelle, et puisque de l'avis de l'État le problème réside surtout au niveau des revenus familiaux, et que l'État verse une compensation familiale pour traiter ces cas, ne serait-il pas plus logique de subventionner les familles à faible revenus plutôt que de kidnapper leurs enfants sous de faux prétextes, et encore, souvent sous des prétextes qui ne justifient même pas le retrait familial de l'enfant au yeux de la loi, pour ensuite compenser financièrement les familles d'accueil ainsi sollicitées, et qui elles se voient offrir un incitatif financier qui contribue pour certains au phénomène de percevoir leur rôle en tant que famille d'accueil comme une sorte de business plutôt qu'un service d'entraide sociale?

Que l'on vienne pas nous faire croire, ensuite, que le gouvernement puisse être surpris qu'une dérive telle que la récente tragédie puisse survenir au sein d'un tel système dont les fondements même de son fonctionnement interne sont caractéristiquement identiques à ceux d'un réseau de trafic d'enfants, la seule différence étant que ce réseau-ci est activement protégé par le système policier et judiciaire, couvert sous le silence du système politique, et enterré sous les mensonges du système médiatique pour ainsi peindre les agissements de la DPJ avec un vernis pseudo-légal qui prétend donner légitimité légale à ces actes pourtant proscrits dans le Code Criminel.


"Le fou qui veut vendre les enfants du Québec"

Mais voilà qu'au moment où, initialement, nous allions nous mettre à la production de ce quatrième documentaire sur le #PizzaGate, est survenu un événement dans les fils d'actualité entourant le sujet qui nous concerne ici, l'éclatement d'un scandale dont nous commençons à peine à en ressentir les secousses tellement la pénétration des ramifications de cette organisation est profonde; et je parle ici du scandale entourant le réseau d'esclavage sexuel (d'enfants et de femmes adultes) et culte sectaire NXIVM dont les mérdias ont brièvement fait mention du bout des lèvres à l'occasion, et qui implique ici aussi une très forte connexion relationnelle avec "la crème de la crème" du décor Montréalais et Québécois, ici sous la forme de l'implication directe de Clare Bronfman, fille héritière d'Edgar Bronfman Sr., ancien PDG de la compagnie Seagram dont le siège social était basé à Montréal.  Il faut savoir qu'Edgar Bronfman Sr. possède lui aussi un historique qui mériterait de s'y attarder un peu, mais là n'est pas le but de cet article.  Sauf que lorsque nous parlions plus haut d'une éventuelle forme de censure ou de couverture complaisante de la part des mérdias de Québécor (et des autres également, mais ici Québécor nous intéresse à cause du lien avec Jeffrey Epstein mentionné plus haut) pour cause de conflit d'intérêts ou de loyauté envers une certaine forme de pouvoir occulte (caché), il faut bien comprendre ici que le cas Bronfman représente ici un exemple typique du genre d'intérêts qui sont en jeu lorsqu'il est question d'évaluer la pertinence (ou pas) d'entrer en conflit (ne serait-ce que médiatique) avec eux.  Nous n'affirmons pas non plus que l'implication potentielle de Pierre Karl Péladeau au sein d'un tel réseau ne se limiterait qu'à une couverture médiatique de complaisance, voire subversive, alimentant ainsi une forme pernicieuse de censure, ceci dans le seul but de protéger les intérêts de ses petits amis de la haute-finance.  Ce que nous affirmons, c'est qu'en analysant la situation de la manière la plus superficielle possible, on peut déjà en arriver à poser de tels postulat avec un certain niveau de confiance de ne pas trop se tromper (selon la prépondérance de faits bien établis et irréfutables).  Autrement dit, "vu la preuve établie, il est raisonnable de croire que...".

Cette semaine, nous dressons un portrait peu enviable de l'état réel de la protection des enfants au Québec à travers un bref survol historique de divers cas de crimes graves commis contre des enfants au cours des 30 dernières années, vus à travers le prisme éclairant de nos anciens épisodes, et pour lesquels non seulement les coupables n'ont-ils pas été punis, mais pour lesquels surtout semble planer une certaine volonté de faire échouer les enquêtes policières, de bloquer le dépôt de plaintes, d'éviter que certaines personnes ne soient inquiétées pour leurs gestes, etc... Quitte à inventer des plaintes criminelles et à utiliser les arguments de la Loi sur les mesures de guerre (qui n'existe pourtant plus depuis 1988) pour faire mettre et maintenir arbitrairement et illégalement en prison ceux qui les dénoncent avec des preuves testimoniales à l'appui, comme Adam Richard et Chantal Mino depuis le 15 octobre 2013. On se demanderait bien pourquoi, si ce n'était de certains éléments récurrents qui pointent tous dans la même direction. À votre avis, qui pourrait bien avoir la volonté de vouloir protéger les pédocriminels, et de surcroît avoir le pouvoir de faire appliquer la Loi du Silence partout au Québec?

Retour sur la vague d'enlèvements d'enfants à Montréal dans les années 80, l'Opération Scorpion et l'Affaire Marie-Renée Baillargeon; avec en prime un scoop qui nous vient de Londres qui démontre que nous ne sommes pas très loin de la vérité.

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Série de trois articles écrits par Matthew Ehret sur le site The Duran concernant les stratégies et méthodes employées par l'Empire Britannique à partir du millieu du XIXième et au cours du XXième siècles pour reconquérir l'influence perdue sur les États-Unis suite à la Déclaration d'Indépendance, et le rôle de pivot crucial qu'a joué le Canada dans cette reprise de contrôle effectuée en douce et échelonnée sur plusieurs décennies à travers un réseau de sociétés secrètes et d'institutions officielles leur étant liées et créées spécifiquement à cet effet, tel que le Mouvement Round Table, le Council on Foreign Relations (CFR) ou encore l'UNESCO, pour en nommer quelques unes, le tout alimenté par les candidats recrutés à travers le système de bourses attribuées par la Fondation Cecil Rhodes et qui pullulent un peu partout aujourd'hui à travers les systèmes politiques canadiens et états-uniens.