Hommage à Rébecca Lévesque! Décédée suite à la négligence criminelle des intervenants et du cadre de garde du Centre jeunesse Chaudière-Appalaches qui l'ont laissé mourir justifiant ce fait par le manque de transfert de l'information selon laquelle Rébecca avait appelé Info Santé où l'infirmière lui avait dit d'aller à l'urgence si elle n'allait pas mieux dans 1 h ou 2 ... comme si la verbalisation et l'observation de Rébecca sur la souffrance de ses douleurs qu'elle endurait, ses vomissements et son affaiblissement n'étaient pas une information valide et humaine à considéré d'urgence pour toute personne ayant un tant soit peu de la considération pour autrui... Elle cherchait l'attention qu'ils croyaient!!!??? ...Nous n'y croyons pas ... Chantal Mino, psychoéducatrice, a fait ses stages universitaires en Centre jeunesse et les ados ne cherchent pas l'attention en faisant semblant de souffrir, de s'affaiblir et de vomir. Ils engagent volontairement des pervers pour faire leur Traite d'enfants où les ados se retrouvent entre choisir entre un réseau de prostitution et/ou de drogue, rester en prison ou se suicider, s'ils ne veulent ni l'un ni l'autre parce qu'ils sont fort de caractère, et bien ils les aideront à choisir ... et à mourir s'il le faut. Tant qu'à l'AIDEF Section Québec, il est clair que ces intervenants du Centre jeunesse, Cindy Vaillancourt, Johanie Tanguay, Laurie Bilodeau et Francine Larochelle l'ont sciemment laissé mourir sous les ordres de leurs pervers de patron, Éric Gingras, et ils devraient encourir non loin de 10 ans de prison tel que le Code criminel le mentionne, voir le article 219 et 220.

Avec Amour et Courage, la famille de Rébecca a refusé de recevoir un bon montant d'argent et de signer pour innocenter ces intervenants criminels, préférant revivre à nouveau ce drame lors d'un procès pour que vérité se sache et que justice se fasse.

Bravo à cette famille qui a su rester debout malgré tout après cette dure épreuve et ce, malgré que leur avocat les ait laissé tombé suite au refus de signer cette entente.

Repose en paix Rébecca! Puisse ton Amour et ton Âme nous éclairer et protéger d'autres jeunes pour que cela n'arrive plus.

 

Rapport de la Commission d'Enquête Publique sur des Abus Sexuels sur des Enfants en Centre d'Accueil Sous La Charge de la DPJ de Montréal

Commission Gagnon

Commission d'enquête portant sur les allégations d'abus sexuels impliquant les enfants résidant dans un centre d'accueil de la région de Montréal; Gagnon, Jean-Denis.

Création : Gazette officielle du Québec du 25 novembre 1987 : Décret 1678-87 du 4 novembre 1987, CONCERNANT la constitution d'une commission d'enquête sur des cas d'abus sexuels impliquant des enfants bénéficiaires d'un centre d'accueil de la région de Montréal, (1987) 119 G.O. II, 6547.

Commission d'enquête créée conformément à l'article 1 de la Loi sur les commissions d'enquête (RLRQ, chapitre C-37).

Mandat : Examiner si des enfants ont subi des abus sexuels alors qu'ils étaient bénéficiaires du centre d'accueil décrit précédemment pour la période du 1er janvier 1980 au 31 décembre 1986, faire des recommandations, à partir de faits constatés, sur les mesures à prendre pour éviter que de tels abus puissent se produire et faire rapport en prenant soin d'exclure de ce rapport tout renseignement nominatif de façon à sauvegarder la réputation des personnes impliquées.

Membre : Jean-Denis Gagnon (président)
(Source : Archives de l'Assemblée Nationale - Commissions d'Enquêtes - Rapport Gagnon)

»»»»»» Rapport de la Commission Gagnon - 07/07/1989 (PDF) ««««««



Extraits du Rapport

Extrait du rapport

Extrait du rapport

»»»»» Les accusés (Commission Gagnon) tentent d'obtenir la transcription des témoignages des enfants [Décision] - 10/07/2003 (PDF) ««««««


 (voir la suite)

« #ScorpionGate Reloaded » reprend sur le scoop là où s'est terminé « De la pratique et de l'influence de la firme Monette-Barakett au sein du trafic international d'enfants - #PedoGate », où nous continuons d'explorer la branche Québécoise de ce trafic d'enfants international opéré par les institutions d'État supposément voués à la protection de l'enfance, le tout au profit d'une caste d'élites pédophiles occupant les plus hautes fonctions des pouvoirs économiques, politiques et judiciaires, pour ne nommer que ceux-là, avec en toile de fond l'analyse des conséquences 15 ans plus tard sur notre soit-disant "démocratie" du fait de l'arrêt de l'Enquête Scorpion, ordonnée à l'époque par Jean Charest, alors même que des noms de ministres et de juges commencèrent à circuler autour de l'enquête.

Nous vous présentons cette semaine le reportage de l'émission Enquête de la Société Radio-Canada intitulé "Des victimes parfaites", originalement diffusé le 22 novembre 2012. Ce reportage fait état d'un système d'abuseurs d'enfants opérant sans contrainte au sein de l'Institut des sourds de Montréal durant les années 60, institution principalement dirigée à l'époque par une congrégation religieuse, les Clercs de Saint-Viateur. Âgés de 7 à 10 ans seulement, les victimes étaient sourdes et muettes, et la plupart étaient pensionnaires, ce qui faisait d'eux des parfaites victimes. Certains auraient même servi d'esclaves sexuels pendant des années pour plusieurs religieux. Les anciens élèves racontent pour la première fois publiquement, en langue des signes avec l'aide d'un interprète et par écrit, l'horreur qu'ils auraient vécue. Vu les troublantes similitudes énormes avec les dossiers DPJ

(Direction de la Protection de la Jeunesse au Québec) actuels dans lesquels l'AIDEF est impliquée de près ou de loin, nous avons pris la liberté de faire ressortir ces fortes similitudes en y insérant des extraits de nos propres reportages précédemment diffusés dans le cadre de "L'Union Fait la Force - Ensemble, Brisons la Loi du Silence!". Vous constaterez alors tout comme nous que les institutions laïques de l'État ont peut-être pris le relais des institutions religieuses concernant la mission des services de santé, d'éducation et des services sociaux à la population, mais les abuseurs, eux, maintenant fonctionnaires de l'État, y sont toujours incrustés avec une Loi du Silence qui les protège encore plus qu'avant. Aujourd'hui en 2014, c'est pire qu'en 1960, car ceux qui dénoncent les pédocriminels subissent une Loi du silence, rendue une Omerta implacable, par l'intermédiaire de jugements illégaux obtenus par des avocats et des juges véreux qui les font déclarer quérulents (malades mentaux) illégalement et/ou des syndics et Conseils de discipline de leur ordre professionnel (incluant le Conseil de la magistrature du Québec) qui leur font enlever leur droit de pratique professionnelle illégalement et/ou du DPCP qui les font accuser au criminel sans fait et sans fondement et même jusqu'à les faire mettre en prison illégalement et arbitrairement sur de simples fausses allégations et en toute connaissance de cause.

Documentaire construit en trois blocs complémentaires, ce film explore et démontre, à travers entre autre l'audience en récusation de Me Serge Vermette alors Président des conseils de discipline des ordres professionnels lors des audience de radiation illégale de l'OPPQ envers Chantal Mino ps.éd. et où celle-ci témoigne des diverses apparences de conflits d'intérêts avec la firme d'avocats Monette Barakett et Associés, et de recoupage avec d'autres éléments tirés des actualités des dernières années, les liens d'influence de la firme Monette Barakett et Associés au fil des décennies au sein des institutions publiques, et notamment impliquée activement dans la défense systématique des institutions de santé et des services sociaux ainsi que dans les conseils de discipline des ordres professionnels, quitte à bafouer le serment d'office des avocats les obligeant à remplir "les devoirs de la profession d'avocat avec honnêteté et justice" en utilisant de moyens illégaux et criminels dans le but systématique de camoufler des scandales commis au sein de ces institutions, et ce à l'encontre du bien-être du public Québécois.  

Cette analyse des liens d'influence et des pratiques criminelles de la firme Monette Barakett et Associés, et d'une manière plus large, de la famille Barakett elle-même, nous amène à déterrer quelques squelettes remontant à rien d'autre que la fameuse Enquête Scorpion sur la prostitution juvénile à Québec qui fut stoppée par ingérence politique de Jean Charest lorsqu'il est devenu évident que des avocats, des juges et des ministres étaient impliqués dans ce scandale, ainsi qu'un lien direct non-équivoque avec la famille Rothschild.

Dans un deuxième temps, nous démontrons le fonctionnement pseudo-légal du réseau de kidnapping et de trafic d'enfants opéré par les services de protection de l'enfance à travers divers pays dans le monde, incluant le Québec, avec données statistiques à l'appui, et comment les actions illégales de firmes d'avocats telle que Monette Barakett et Associés contribuent à maintenir en place ce réseau étatique international de trafic d'enfants, entre autre en opérant ni plus ni moins qu'une forme de harcèlement judiciaire envers les lanceurs d'alertes, harcèlement toléré et même encouragé et aidé par les institutions judiciaires, dont les ordres professionnels, les tribunaux administratifs, la Cour du Québec, la Cour supérieure du Québec, la Cour d'appel du Québec, etc., celles-là même où siègent des juges et des avocats pédophiles impliqués dans le scandale Scorpion et qui non seulement sont demeurés impunis, mais sont demeurés en poste, voire même récompensés, plaçant ainsi la totalité de l'intégrité du système judiciaire dans une situation intenable, où le mot d'ordre principal qui y règne est «Se protéger mutuellement et se servir», le tout entériné par la classe politique et médiatique qui étaient elles aussi impliquées au sein de l'Enquête Scorpion.

Sous-catégories

Série de trois articles écrits par Matthew Ehret sur le site The Duran concernant les stratégies et méthodes employées par l'Empire Britannique à partir du millieu du XIXième et au cours du XXième siècles pour reconquérir l'influence perdue sur les États-Unis suite à la Déclaration d'Indépendance, et le rôle de pivot crucial qu'a joué le Canada dans cette reprise de contrôle effectuée en douce et échelonnée sur plusieurs décennies à travers un réseau de sociétés secrètes et d'institutions officielles leur étant liées et créées spécifiquement à cet effet, tel que le Mouvement Round Table, le Council on Foreign Relations (CFR) ou encore l'UNESCO, pour en nommer quelques unes, le tout alimenté par les candidats recrutés à travers le système de bourses attribuées par la Fondation Cecil Rhodes et qui pullulent un peu partout aujourd'hui à travers les systèmes politiques canadiens et états-uniens.