En ce vendredi saint 19 avril, plus de 2019 après la crucifixion de Jésus parce qu'il apportait un message que l'instruction est la base de toute liberté et de recherche de la vérité derrière des apparences souvent trompeuses et volontairement falsifiées par ceux qui abusent avec ingratitude des bienfaits que la vie leur a donnés, Jésus étant ce modèle exemplaire d'Amour, de fraternité, de persévérance, de résilience, d'authenticité, de paix, d'actualisation, de bonheur et de liberté pour chacun d'entre nous, et non pas juste pour une petite caste d'élites auto-proclamées têtes enflées, égocentriques, mercantiles et pervers qui se croient tous "Touts-Puissants" et bien au-dessus de toutes les lois et de la vie sur cette terre et qui se réservcnt ainsi instruction, pouvoir, satisfaction des besoins de base et plus encore avec leurs plaisirs vils et malsains à en vomir, ainsi que privilèges et le droit de vie ou de mort sur autrui selon ce que cela leur rapporte personnellement, et donc, au détriment de nombre de vies humaines et en esclavage et destruction d'une majorité des peuples pourtant souverains de cette terre, je vous partage le bel héritage inspirant, enrichissant et fructifiant que nous a laissé Jean-Jacques Rousseau (1712-1778) ... à vous d'en faire bonne usage ☺... et Joyeuses Pâques à tou(te)s 👉 💝 💓 💖 !
Discours sur l’origine de l’inégalité parmi les hommes écrit en 1754
Livre Internet : http://classiques.uqac.ca/classiques/Rousseau_jj/discours_origine_inegalite/discours_inegalite.pdf
Extrait :
''En recherchant les meilleures maximes que le bon sens puisse dicter sur la constitution d'un gouvernement, j'ai été si frappé de les voir toutes en exécution dans le vôtre que même sans être né dans vos murs, j'aurais cru ne pouvoir me dispenser d'offrir ce tableau de la société humaine à celui de tous les peuples qui me paraît en posséder les plus grands avantages, et en avoir le mieux prévenu les abus.
Si j'avais eu à choisir le lieu de ma naissance, J'aurais choisi une société d'une grandeur bornée par l'étendue des facultés humaines, c'est-à-dire par la possibilité d'être bien gouvernée, et où chacun suffisant à son emploi, nul n'eût été contraint de commettre à d'autres les fonctions dont il était chargé : un État où tous les particuliers se connaissant entre eux, les manœuvres obscures du vice ni la modestie de la vertu n'eussent pu se dérober aux regards et au jugement du public, et où cette douce habitude de se voir et de se connaître, fit de l'amour de la patrie l'amour des citoyens plutôt que celui de la terre.
J'aurais voulu naître dans un pays où le souverain et le peuple ne pussent avoir qu'un seul et même intérêt, afin que tous les mouvements de la machine ne tendissent jamais qu'au bonheur commun ; ce qui ne pouvant se faire à moins que le peuple et le souverain ne soient une même personne, il s'ensuit que j'aurais voulu naître sous un gouvernement démocratique, sagement tempéré.
J'aurais voulu vivre et mourir libre, c'est-à-dire tellement soumis aux lois que ni moi ni personne n'en pût secouer l'honorable joug ; ce joug salutaire et doux, que les têtes les plus fières portent d'autant plus docilement qu'elles sont faites pour n'en porter aucun autre.
J'aurais donc voulu que personne dans l'État n'eût pu se dire au-dessus de la loi, et que personne au-dehors n'en pût imposer que l'État fût obligé de reconnaître. Car quelle que puisse être la constitution d'un gouvernement, s'il s'y trouve un seul homme qui ne soit pas soumis à la loi, tous les autres sont nécessairement à la discrétion de celui-là; et s'il y a un chef national, et un autre chef étranger, quelque partage d'autorité qu'ils puissent faire, il est impossible que l'un et l'autre soient bien obéis et que l'État soit bien gouverné.''
DU CONTRAT SOCIAL ou Principes du droit politique écrit en 1762
Livre Internet : http://classiques.uqac.ca/classiques/Rousseau_jj/contrat_social/Contrat_social.pdf
Extrait de l'introduction de son livre :
''Le contrat social''
qui vous fera comprendre pourquoi ses œuvres, ''Le contrat social'' et ''L’Emile'' (Traité de pédagogie'') publié en 1762 ont été saisies par l'État, brûlées et qu'il a été emprisonné pour une présumée sédition à cause de leur publication, pourquoi Il a subit le harcèlement criminel de son État et pourquoi les riches et leurs larbins de service qui tiennent le 79% des peuples en état d'esclavage ne veulent pas qu'il soit lu et calomnient sans bon sens Jean-Jacques Rousseau dans sa personne depuis 262 ans pour ce faire en faisant totalement abstraction du contenu extraordinaire de ses œuvres visant et prônant l'égalité réelle de tous les citoyens et non pas juste pour les riches et leur larbin de service tel que c'est le cas encore aujourd'hui :
''Je yeux chercher si, dans l'ordre civil, il peut y avoir quelque règle d'administration légitime et sûre, en prenant les hommes tels 'qu'ils sont, et les lois telles qu'elles peuvent être. Je tâcherai d'allier toujours, dans cette recherche, ce que le droit permet avec ce que l'intérêt prescrit, afin que la justice et l'utilité ne se trouvent point divisées.
J'entre en matière sans prouver l'importance de mon sujet. On me demandera si je suis prince ou législateur pour écrire sur la politique. Je réponds que non, et que c'est pour cela que j'écris sur la politique. Si j’étais prince ou législateur, je ne perdrais pas mon temps à dire ce qu'il faut faire ; je le ferais, ou je me tairais.
Né citoyen d'un État libre, et membre du souverain, quelque faible influence que puisse avoir ma voix dans les affaires publiques, le droit d'y voter suffit pour m'imposer le devoir de m'en instruire : heureux, toutes les fois que je médite sur les gouvernements, de trouver toujours dans mes recherches de nouvelles raisons d'aimer celui de mon pays.''
ÉMILE ou de l’Éducation de Jean-Jacques ROUSSEAU en 1762
Livres Internet :
- Livres I, II et III
http://classiques.uqac.ca/classiques/Rousseau_jj/emile/emile_de_education_1_3.pdf
- Livre IV
http://classiques.uqac.ca/classiques/Rousseau_jj/emile/emile_de_education_4.pdf
- Livre V
http://classiques.uqac.ca/classiques/Rousseau_jj/emile/emile_de_education_5.pdf
''Préface
Ce recueil de réflexions et d'observations, sans ordre et presque sans suite, fut commencé pour complaire à une bonne mère qui sait penser. Je n'avais d'abord projeté qu'un mémoire de quelques pages ; mon sujet m'entraînant malgré moi, ce mémoire devint insensiblement une espèce d'ouvrage trop gros, sans doute, pour ce qu'il contient, mais trop petit pour la matière qu'il traite. J'ai balancé longtemps à le publier ; et souvent il m'a fait sentir, en y travaillant, qu'il ne suffit pas d'avoir écrit quelques brochures pour savoir composer un livre. Après de vains efforts pour mieux faire, je crois devoir le donner tel qu'il est, jugeant qu'il importe de tourner l'attention publique de ce côté-là ; et que, quand mes idées seraient mauvaises, si j'en fais naître de bonnes à d'autres, je n'aurai pas tout à fait perdu mon temps. Un homme qui, de sa retraite, jette ses feuilles dans le public, sans prôneurs, sans parti qui les défende, sans savoir même ce qu'on en pense ou ce qu'on en dit, ne doit pas craindre que, s'il se trompe, on admette ses erreurs sans examen.
Je parlerai peu de l'importance d'une bonne éducation ; je ne m'arrêterai pas non plus à prouver que celle qui est en usage est mauvaise ; mille autres l'ont fait avant moi, et je n'aime point à remplir un livre de choses que tout le monde sait. Je remarquerai seulement que, depuis des temps infinis, il n'y a qu'un cri contre la pratique établie, sans que personne s'avise d'en proposer une meilleure. La littérature et le savoir de notre siècle tendent beaucoup plus à détruire qu'à édifier. On censure d'un ton de maître ; pour proposer, il en faut prendre un autre, auquel la hauteur philosophique se complaît moins. Malgré tant d'écrits, qui n'ont, dit-on, pour but que l'utilité publique, la première de toutes les utilités, qui est l'art de former des hommes, est encore oubliée. Mon sujet était tout neuf après le livre de Locke, et je crains fort qu'il
ne le soit encore après le mien.
On ne connaît point l'enfance : sur les fausses idées qu'on en a, plus on va, plus on s'égare. Les plus sages s'attachent à ce qu'il importe aux hommes de savoir, sans considérer ce que les enfants sont en état d'apprendre. Ils cherchent toujours l'homme dans l'enfant, sans penser à ce qu'il est avant que d'être homme. Voilà l'étude à laquel le je me suis le plus appliqué, afin que, quand toute ma méthode serait chimérique et fausse, on pût toujours profiter de mes observations. Je puis avoir très mal vu ce qu'il faut faire ; mais je crois avoir bien vu le sujet sur lequel on doit opérer. Commencez donc par mieux étudier vos élèves ; car très assurément vous ne les connaissez point ; or, si vous lisez ce livre dans cette vue, je ne le crois pas sans utilité pour vous.
A l'égard de ce qu'on appellera la partie systématique, qui n'est autre chose ici que la marche de la nature, c'est là ce qui déroutera le plus le lecteur ; c'est aussi par là qu'on m'attaquera sans doute, et peut-être n'aura-t-on pas tort. On croira moins lire un traité d'éducation que les rêveries d'un visionnaire sur l'éducation. Qu'y faire ? Ce n'est pas sur les idées d'autrui que j'écris ; c'est sur les miennes. Je ne vois point comme les autres hommes ; il y a longtemps qu'on me l'a reproché. Mais dépend-il de moi de me donner d'autres yeux, et de m'affecter d'autres idées ? non. Il dépend de moi de ne point abonder dans mon sens, de ne point croire être seul plus sage que tout le monde ; il dépend de moi, non de changer de sentiment, mais de me défier du mien : voilà tout ce que je puis faire, et ce que je fais. Que si je prends quelquefois le ton affirmatif, ce n'est point pour en imposer au lecteur ; c'est pour lui parler comme je pense. Pourquoi proposerais-je par forme de doute ce dont, quant à moi, je ne doute point ? je dis exactement ce qui se passe dans mon esprit.
En exposant avec liberté mon sentiment, j'entends si peu qu'il fasse autorité, que j'y joins toujours mes raisons, afin qu'on les pèse et qu'on me juge : mais, quoique je ne veuille point m'obstiner à défendre mes idées, je ne me crois pas moins obligé de les proposer ; car les maximes sur lesquelles je suis d'un avis contraire à celui des autres ne sont point indifférentes. Ce sont de celles dont la vérité ou la fausseté importe à connaître, et qui font le bonheur ou le malheur du genre humain.
Proposez ce qui est faisable, ne cesse-t-on de me répéter. C'est comme si l'on me disait : Proposez de faire ce qu'on fait ; ou du moins proposez quelque bien qui s'allie avec le mal existant. Un tel projet, sur certaines matières, est beaucoup plus chimérique que les miens ; car, dans cet alliage, le bien se gâte, et le mal ne se guérit pas. J'ai merais mieux suivre en tout la pratique établie, que d'en prendre une bonne à demi ; il y aurait moins de contradiction dans l'homme ; il ne peut tendre à la fois à deux buts opposés. Pères et mères, ce qui est faisable est ce que vous voulez faire. Dois-je répondre de votre volonté ?
En toute espèce de projet, il y a deux choses à considérer : premièrement, la bonté absolue du projet ; en second lieu, la facilité de l'exécution.
Au premier égard, il suffit, pour que le projet soit admissible et praticable en lui-même, que ce qu'il a de bon soit dans la nature de la chose ; ici, par exemple, que l'éducation proposée soit convenable à l'homme, et bien adaptée au cœur humain.
La seconde considération dépend de rapports donnés dans certaines situations ; rapports accidentels à la chose, lesquels, par conséquent, ne sont point nécessaires, et peuvent varier à l'infini. Ainsi telle éducation peut être praticable en Suisse, et ne l'être pas en France ; telle autre peut l'être chez les bourgeois, et telle autre parmi les grands. La facilité plus ou moins grande de l'exécution dépend de mille circonstances qu'il est impossible de déterminer autrement que dans une application particulière de la méthode à tel ou tel pays, à telle ou telle condition. Or, toutes ces applications particulières, n'étant pas essentielles à mon sujet, n'entrent point dans mon plan. D'autres pourront s'en occuper s'ils veulent, chacun pour le pays où l'État qu'il aura en vue. Il me suffit que, partout où naîtront des hommes, on puisse en faire ce que je propose ; et qu'ayant fait d'eux ce que je propose, on ait fait ce qu'il y a de meilleur et pour eux-mêmes et pour autrui. Si je ne remplis pas cet engagement, j'ai tort sans doute ; mais si je le remplis, on aurait tort aussi d'exiger de moi davantage, car je ne promets que cela.''
SOURCE :
Collection « Les auteur(e)s classiques »
Jean-Jacques Rousseau (1712-1778)
http://classiques.uqac.ca/classiques/Rousseau_jj/rousseau.html
Site Internet de l'Université du Québec à Chicoutimi
P.S.
Pour ceux qui ont envie de discréditer Jean-Jacques Rousseau 265 ans plus tard avec le livre "Les (présumées) confessions'' de Jean-Jacques Rousseau édité en 1782, 4 ans(???) après sa mort survenue en 1778 pour la première partie et 11 ans(???) après sa mort pour la deuxième partie, je rappelle à tous que ce n'est pas lui qui a fait et diffusé ce livre de ces présumées confessions, mais que ce sont des riches et leurs larbins de service qu'ils l'ont fait après sa mort évidemment pour qu'il ne puisse pas s'en défendre gang de salopards cupides, pervers et minable êtres humains manipulateurs et pervers sur cette terre! ...
... Un livre écrit par un auteur dès années après sa mort??????? ... le temps de communiquer avec lui dans l'au-delà peut-être!!!??? 😉 Pffff! N'importe quoi!
Références vers cette sale manipulation perverse des riches en besoin constant viscéral et pervers de dénigrer et de détruire autrui pour démontrer leur présumée "Toute-Puissance" sur le travail fructueux d'autrui plus humain, altruiste et compétent qu'eux pour éviter de faire face à leur propre conscience et leur incompétence grasse, et surtout, de leur réelle bassesse, lâcheté et petitesse par rapport à l'Univers infini :
-1- www.espacefrancais.com/jean-jacques-rousseau-les-confessions/#Introduction
-2- http://www.litteratureaudio.com/livre-audio-gratuit-mp3/rousseau-jean-jacques-les-confessions-2.html
Extrait :
''Autobiographie couvrant les cinquante-trois premières années de la vie de Rousseau, jusqu’à 1767.
L’œuvre aura une publication ENTIÈREMENT POSTHUME : en 1782 pour la première partie et en 1789 pour la deuxième ; Jean-Jacques Rousseau avait cependant déjà fait des lectures publiques de certains extraits''
''Le texte est tout d'abord connu par des lectures confidentielles, faites par l'auteur, chez le marquis de Pezay, le poète Dorat, puis le prince de Suède.''
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