Voici le témoignage d'un ex-Troll que le Nouvel Ordre Mondial tente de décrire maintenant comme un Hoax afin que vous ne le lisiez pas. Chose certaine, cet exposé comporte des faits tout à fait observables et mesurables par chaque personne concernée qui a besoin de s'en protéger et dont j'ai moi-même subi, observé et mesuré l'ampleur de ces stratégies viles, perverses et criminelles de cette Secte satanique des riches Francs-Maçons avec leur Nouvel Ordre Mondial dictatorial, pervers et pédocriminel qui nous ont fait un coup d'État grâce à tous leurs faussaires du droit de la Mafia pédocriminelle du Barreau du Québex et leur mafieux minables chiens sales larbins de service de journaleux mythomanes dans leurs Merdias avec l'aide de leurs fonctionnaires criminels et pédocriminels, surtout dans les postes de pouvoir comme au Conseil exécutif du Québex et à l'Assemblée nationale du Québex avec leurs nominations post-it de collusion et corruption pour faire appliquer leur Loi de l'omertà, particulièrement au judiciaire pour imposer de force et criminellement sans aucun respect des lois et procédures leur esclavage terroriste, machiavélique et sadique des citoyens Québécois, les plus vulnérables a priori. Ces Trolls, ces taupes, ces journaleux et ces fonctionnaires sont tous des traîtres envers les citoyens du Peuple Souverain du Québec, les Québécois, ces derniers étant seuls fiduciants et constituants de l'État du Québec et les fonctionnaires seulement fiduciaires et donc au service et se devant loyaux selon leur serment envers leurs employeurs, i.e. les Québécois (Premières Nations incluses).
Ci-après, voci un commentaire d'une publication de notre Page Facebook AIDEF Chantal Mino ps.éd. qui contenait tout l'article complet "Confession d'un Troll rémunée"et vers lequel je référais depuis le 2 mai 2017 suite à la suppression du Blog de l'article. Publication Facebook qui a été supprimée en catimini à la fin mars 2019, et ce, comme plusieurs autres de nos anciennes publications et vidéos dérangeantes depuis mon arrivée sur Facebook à la fin avril 2013 et qui référeaient vers mon défunt Blog http://lesaventuresdeladangereusemino.blogspot.ca sur cette même Page Facebook et sur nos autres Pages Facebook L'union fait la force Ensemble brisons la loi du silence, Le Peuple Est Roi et AIDEF-Télé ainsi que sur nos Murs Facebook à mon collègue Adam Richard et moi-même. Bref INTENSIFICATION DE LA CENSURE ILLÉGALE, CRIMINELLE ET INCONSTITUTIONNELLE PAR LES PÉDOCRIMINELS DE CHEZ FACEBOOK DEPUIS MARS 2019 afin de tenter de faire disparaître mon existence et tout mon gros travail bénévole que j'ai fait sur Facebook depuis 2013. Travail que j'ai fait pour aider mes compatriotes plus vulnérables qui sont esclavager et/ou envoyer vers la mort. Travail que j'ai fait sans relâche depuis avril 2013 au péril de ma vie et au prix de mes libertés et de nombreux autres droits fondamentaux pourtant inaliéables (dont de la torture avec des privations de mes contacts familiales et privés avec pertes irréplaçables d'Êtres chers que je n'ai pas pu voir depuis octobre 2013 et que je ne reverrai plus jamais à cause de cette sale Mafia pédocriminelle Franc-Maçonne d'État in the Québex). Mes droits fondamentaux qui sont complètement bafoués par cette Mafia pédocriminelle Franc-Maçonne depuis le 15 octobre 2013. Mafia pédocriminelle Étatique Franc-Maçonne qui contrôle tout le Québec et le Canada et la majorité des pays à travers le monde pour la gouverne de leur sale Nouvel Ordre Mondial des plus riches pédocriminels Francs-Maçons de cette terre dont la tête est la Cité de Londres avec ses Banksters et la Reine d'Angleterre :
https://www.facebook.com/1469252073299779/photos/a.1469399906618329/1722703544621296/?type=3&comment_id=1752903934934590
https://www.facebook.com/1469252073299779/photos/a.1469399906618329/1722703544621296/?type=3&comment_id=1752903934934590
Traduction française faite par Géraldine F.- lafilleducapitaine "Confession d'un troll rémunéré" http://lafilleducapitaine.revolublog.com/confession-d-un-troll-remunere-a49933194
"J'ai trouvé le témoignage d'un troll rémunéré pour répandre de la désinformation sur les forums internet. Ce témoignage est celui d'un citoyen améicain, mais au cours de mon activisme contre les nombreuses propagandes de guerre et lors de mon engagement contre la gouvenance globale, j'ai été très souvent confrontée à eux. Ils sévissent sur la toile francophone aussi. Ils agissent en groupes organisés, ils se relaient. Leur mission est de salir leurs opposants, d'atteindre à leur honneur, à leur réputation avec des arguments fallacieux, des faux témoignages, des sous-entendus nauséabonds.
Parfois, ils créent même leurs propres sites (...)
Source: "I Was a Paid Internet Shill" http://www.abovetopsecret.com/forum/thread826545/pg1
J’écris ici pour sortir du placard mon passé de troll rémunéré. Durant un peu plus de six mois, j’ai été payé pour répandre de la désinformation et causer des polémiques politiques sur Internet.
J’ai quitté ce job fin 2011 parce que j’étais dégoûté et parce que j’ai réalisé que je ne pouvais plus me regarder dans le miroir. Si cette confession me vaut des représailles, tant pis. Être un homme, un vrai, dans ce monde, implique d’avoir de réelles valeurs à défendre, quelles que soient les conséquences.
Mon histoire commence au début de l’année 2011. J’étais sans emploi depuis près d’un an après avoir perdu mon job de support technique. De plus en plus désespéré et découragé, j’ai sauté sur l’occasion quand une ancienne collègue m’a appelé et m’a dit qu’elle avait un possible filon pour moi.
- “C'est un travail inhabituel, et qui exige le secret. Mais le salaire est bon. Et je sais que tu écris bien et que c’est un job fait pour toi.” (Ecrire a toujours été un hobby pour moi).
Elle m'a donné un numéro de téléphone et une adresse dans un des quartiers les plus minables de San Francisco où je vis.
Intrigué, je lui ai demandé l'URL de l'entreprise et quelques infos. Elle se mit à rire.
- «Ils n'ont pas de site Web, ni même de nom. Tu verras. Dis-leur que je t’ai parlé »
OK, ça avait l'air suspect, mais à long terme le chômage engendre le désespoir et le désespoir déforme votre perception de ce qui est suspect dès lors qu’il s'agit d’amener de la nourriture sur la table.
Le lendemain, je me suis rendu à l'adresse - au troisième étage d'un bâtiment en ruines. L'aspect de l'endroit n'inspirait pas confiance. Après avoir parcouru un long couloir couvert de linoléum, faiblement éclairé par halogène clignotant, je suis arrivé à l'entrée du bureau en question : une grossière porte en métal avec une pancarte qui indiquait “United Amalgamated Industries, Inc.” J'ai appris plus tard que cette «société» changeait de nom presque tous les mois, utilisant toujours des noms flous ne laissant pas vraiment deviner la nature des activités de l’entreprise. Je suis rentré sans trop d’espoir. L'intérieur était tout aussi minable. Il y avait quelques longues tables avec des chaises pliantes sur lesquelles une douzaine de personnes tapaient sur de vieux PC. Il n’y avait aucune décoration: pas même un ficus ou des fougères en plastique. Quel taudis! Mais bon, les mendiants ne font pas les difficiles, n’est-ce pas ?
Le manager, un quadra chauve, s’est levé de l’unique bureau individuel de la pièce et est venu vers moi avec un sourire feint.
- “Je suppose que tu dois être Chris. Yvette [mon ex-collègue] m’a dit que tu viendrais.” [Ce ne sont pas nos vrais noms]. “Bienvenue. Laisse-moi te parler un peu de ce que nous faisons.”
Pas d’interview, rien. J’ai appris plus tard qu’ils n’engageaient que des gens qui leur avaient été recommandés, et que les gens qui faisaient ces recommandations, comme mon ex-collègue Yvette, étaient entrainés à choisir les candidats selon divers facteurs dont la capacité à se taire, des compétences rédactionnelles de base et une recherche désespérée d’emploi.
Nous nous sommes assis à son bureau et il a commencé à me poser quelques questions à mon sujet et au sujet de mon background, dont mes opinions politiques (qui étaient quasi-inexistantes). Puis, il a commencé à m’expliquer en quoi consisterait le boulot.
- “Ici, nous travaillons à influencer les opinions des gens”.
C’est ainsi qu’il décrivit la fonction. Les clients de la société les payaient pour poster des messages sur internet, sur les tchatrooms, ainsi que sur les forums et les réseaux sociaux comme Facebook et MySpace. Qui étaient ces clients?
- “Oh, toutes sortes de gens,” répondit-il vaguement. “Parfois des compagnies privées, parfois, des partis politiques.”
Satisfait que je n’aie pas d’opinions sur la question, il m’a dit que je serais assigné à des commentaires politiques.
- “Les meilleurs candidats pour ce genre de fonctions sont des gens comme toi, sans fortes opinions » dit-il en riant. «Cela peut sembler paradoxal, mais en fait nous avons constaté que c'était ainsi."
Bon, OK. Bien. Aussi longtemps que cela payait bien, j’étais d’accord de croire tout ce qu’ils voulaient que je croie. Après avoir discuté salaire (qui était bien plus élevé que je ne l’espérais) et de quelques autres détails, il aborda le besoin de confidentialité absolue et la mise au secret.
- “Tu ne peux parler à personne de ce que nous faisons ici. Ni à ta femme, ni même à ton chien.” (Je n’avais ni l’un ni l’autre.) “Nous te fournirons une couverture, un faux numéro de téléphone et même un faux site web. Tu diras aux gens que tu es consultant. Puisque tu as un background de support technique, ce sera ta couverture. C’est un problème pour toi ?”
Je l’ai assuré qu’il n’y aurait aucun problème.
- “Bien. OK. On peut commencer?”
- «Maintenant?" Demandai-je, un peu surpris.
- “Rien de tel que le moment présent!” dit-il en riant de bon cœur.
Le reste de la journée fut consacré à ma formation. Un autre membre de l’équipe, une femme dans la trentaine allait être mon coach et ma formation allait durer deux jours.
- “Tu as l’air d’un gars intelligent, je pense que tu comprendras vite,” dit-elle.
Et de fait, le job était plus facile que je ne me l’étais imaginé. Ma tâche était simple: On m’a collé à quatre sites différents avec l’objectif de m’infiltrer dans certaines discussions et de promouvoir certaines idées. J’ai appris plus tard que certains membres du personnel (comme moi) étaient assignés à des forums internet tandis que d’autres travaillaient sur Facebook ou des chatrooms. Il semble que chacun de ces trois médias adoptent des stratégies différentes pour arriver à leurs fins.
Ma fonction? Soutenir Israël et saboter les propos des opposants à Israël et des antisémites. Cela m’allait très bien. Je n’avais pas d’opinion tranchée sur Israël et de toute façon, qui aimait les antisémites et les nazis? Pas moi. Mais je ne connaissais pas grand chose à leurs arguments.
- “Très bien,” dit-elle. “Tu apprendras au fur et à mesure. Pour commencer, tu feras principalement ce que nous appelons de la surveillance thématique. C’est assez facile. Plus tard, si tu te montres prometteur, nous te formerons à des argumentations plus complexes qui nécessitent des connaissances plus poussées”.
Elle me refila deux classeurs avec des feuilles protégées par des chemises en plastique. Le premier s’intitulait simplement “Israël”. C’était écrit en gros marqueur sur la couverture et il comportait deux sections. La première section compilait des infos de base sur l’historique du sujet. J’allais devoir lire et apprendre par cœur une partie de ces infos. Il comportait des liens internet avec des matériaux à lire, des essais, des entretiens et des extraits de livres d’histoire. Le second et plus gros chapitre s’appelait “Strat” (raccourci pour “stratégie”) avec une longue liste de “dialogues.” Il s’agissait de réponses types à des commentaires spécifiques. Si quelqu’un postait quelque chose proche de “X,” nous étions sensés répondre quelque chose proche de “Y.”
- “Tu devras adapter un peu le texte,” me dit mon coach “ sinon, cela se remarquera. Apprends à utiliser un dictionnaire de synonymes.”
Cette section parlait aussi des objectifs à atteindre. Ces stratégies incluaient également certaines formes d’attaques personnelles, comment se plaindre aux modérateurs du forum, comment salir efficacement nos opposants, et même en abaissant le ton de la conversation par des sous-entendus d’ordre sexuel, liés à la pornographie ou trucs du genre.
- “Parfois nous devons nous battre de façon dégueulasse,” nous dit notre coach. “Nos opposants n’hésitent pas à le faire, alors nous devons le faire aussi. »
Le second classeur était plus petit et il contenait des informations spécifiques aux sites web qui m’étaient assignés. Les sites sur lesquels j’allais devoir m’acharner étaient: Godlike Productions, Lunatic Outpost, CNN news, Yahoo News, et une poignée de petits sites en fonction des besoins. Comme indiqué, je n'ai pas été affectés à des travaux sur ce forum en particulier (même si d’autres membres du groupe l’étaient), C’est en partie la raison pour laquelle je poste ce message ici, plutôt qu’ailleurs. Je voulais d’abord le poster sur Godlike Productions, mais ils m’ont bnni pour avoir seulement visité ce site (peut-être m’en veulent-ils?). Mais si quelqu’un qui fréquente ce site pouvait leur transmettre le message, je pense qu’ils devraient en être avertis parce que c’est le site sur lequel j’ai passé plus de 70% de mon temps de travail.
Les infos spécifiques contenues dans le second classeur comprenaient l’historique de chaque site, comprenant les clashs récents ainsi que les instructions sur ce qu’il convenait d’éviter sur chacun d’eux pour ne pas être banni.
Il contenait également beaucoup d’informations détaillées sur les modérateurs et les participants les plus populaires de chaque site: localisation (si connue), type de personnalité, centres d’intérêt, historique et contextes, et même quelques notes sur comment “appuyer sur les faiblesses psychologiques” de certains posteurs.
- “Concentres-toi sur les posteurs les plus populaires,” m’a dit mon coach. “Ce sont eux qui influencent le plus les autres. Chacun d’eux vaut 50 à 100 des noms les moins connus.”
Chaque participant était classé “hostile,” “friendly,” or “indifférent” à mes objectifs. Nous étions sensés nous lier d’amitié avec les participants « friendly » ainsi qu’avec les modérateurs (en gros, en leur frottant la manche), et il y avait même des notes sur les stratégies à adopter avec les posteurs hostiles. Les infos étaient assez détaillées, mais pas parfaites dans tous les cas de figure.
- “Si tu parviens à convertir un posteur du camp ennemi pour l’amener dans notre camp, tu recevras un bonus. Mais malheureusement, cela arrive rarement. Alors la plupart du temps, il faudra que tu les attaques pour les salir”
D’abord, comme je l’ai dit, mon rôle consistait à contrôler les thèmatiques. C’était assez simple et répétitif; je devais faire l’inventaire des thèmes et en introduire de nouveaux, et cela ne demandait pas de connaissances approfondies du sujet. La plupart du temps, il s’agissait de messages répétitifs basés sur les dialogues de la section stratégie du premier classeur. Une grosse partie du travail consistait à tourner en dérision les fils de discussion qui n’allaient pas dans notre sens, ou a lancer des accusations de racisme ou d’antisémitisme. Parfois je devais simplement mentir ou prétendre qu’un posteur avait dit quelque chose ou fait quelque chose dans une autre discussion qu’il n’avait pas vraiment dit ou fait. Je ne me sentais pas bien par rapport à cela…mais je me sentais encore plus mal à l’idée de perdre le seul job que j’avais été capable de trouver depuis que j’avais perdu mon vrai travail.
La chose la plus étrange, c’est que même si je n’avais jamais eu d’opinions politiques tranchées par le passé, après quelques semaines, je suis devenu très émotionnellement lié aux idées pro-israéliennes que je devais défendre. Il devait y avoir quelques facteurs psychologiques à l’oeuvre… un bon vendeur apprend à aimer sincèrement les produits qu’il vend, je suppose. Il ne fallut pas longtemps avant que mes réponses ne deviennent fougueuses et passionnées, et j’ai commencé à chercher à en savoir plus par moi-même.
- “C’est un bon signe,” m’a dit mon coach. “Cela veut dire que tu es prêt pour la prochaine étape: le débat complexe.”
La partie du job « débat complexe » comprenait pas mal d’entrainements supplémentaires, dont la mémorisation d’informations plus spécifiques sur certains intervenants (amicaux et hostiles) à qui j’allais me confronter. Ici encore, il y avait des scénarios et des répliques d’arguments suggérées, mais on nous donnait plus de liberté. Il y avait beaucoup plus de détails dans cette partie avancée du travail – tout sur comment choisir le bon avatar ou comment utiliser des images démotivantes trouvées sur le web. Même l’usage correct des photos de chats était discuté. Parfois nous utilisions des photos truquées ou des reportages falsifiés (c’est une des autres choses qui me dérangeaient).
On m’a aussi confié la mission de trouver de nouvelles recrues, des gens “comme moi” qui avaient le type de personnalité, l’habilité de conserver un secret, des compétences rédactionnelles et intellectuelles de base, et le désespoir suffisant pour signer pour un job pareil. J’ai eu moins de succès pour cette part du job, et je n’ai pas pu trouver quelqu’un à l’époque où j’ai travaillé pour eux.
Après un certain temps, j’ai commencé à me sentir mal. Pas à cause des opinions que je promouvais (comme je l’ai dit, j’étais d’abord apolitique, et puis pro-Israël), mais à cause de la malhonnêteté que cela impliquait. Si mes arguments étaient si corrects, je me demandais pourquoi je devais agir de la sorte. La vérité ne devrait-elle pas se propager naturellement, plutôt que par.. euh... la propagande? Et qui se trouvait derrière toute cette opération? Qui signait mes chèques? Le stress de devoir mentir à ma famille et à mes amis sur mon soit disant poste de consultant me pesait aussi. Finalement, j’ai dit « trop c’est trop ». J’ai quitté en septembre 2011. Depuis, j’ai travaillé dans une série d’agences intérimaires peu avenantes et pour un salaire moindre. Mais au moins, je ne gagne plus ma vie à mentir et a harceler les gens qui viennent sur le net pour exprimer leurs idées et exercer leur liberté d’expression.
Je suis repassé dans le quartier, il y a quelques jours et sur un coup de tête, je suis retourné sur les lieux de mon ancien bureau. Il avait déménagé. J’ai compris que cela aussi faisait partie de leur stratégie: ne pas rester au même endroit trop longtemps, ne pas garder le même nom trop longtemps, déménager après six mois. Garder un profil bas, trouver de nouveaux employés par le biais du bouche à oreilles: tout cela fait partie de la vie trollesque. Mais c’est une façon de vivre trompeuse, et peu importe si la cause est noble (je demeure pro-Israel), la fin ne peut être justifiées par ces moyens douteux.
Ceci est ma confession. Je n’ai pas encore décidé si je souhaitais parler davantage de tout cela, aussi, si je ne réponds plus à cette discussion, ne m’en veuillez pas. Mais je pense que vous devez le savoir: les trolls existent. Ils sont réels. Ils marchent parmi vous, et ils accordent une attention particulières à vos meilleurs posteurs. Vous devez en être conscients. Et ce que vous ferez de ces prises de conscience ne regarde que vous.
Sincèrement,
ExTroll Avril 2012"
Vidéo référée par Géraldine F. - La fille du Capitaine dans un de ses commentaires sur l'image ci-haut, et ce, en réponse à un Troll :
Voir aussi le contenu de cet article du 20 août 2013
"Des étudiants payés pour défendre Israël sur Internet"
"Des étudiants payés pour défendre Israël sur Internet"

Exemples récents datant de fin mars 2019 concernant des censures sournoises (shadow banning) illégales, totalement criminelles et inconstitutionnelles que nous subissons de la part des pédocriminels de chez Facebook Montréal (Facebook Canada, Facebook, Inc. en Californie) :
Découverte hier le 25 avril 2019, autre nouvelle censure sournoise (shadow banning de cette vidéo publiée le 4 mai 2015 (https://www.facebook.com/chantal.minopsed.3/videos/373023492900245) sans aucune notification ni avis ni courriel comme ce fut le cas pour des centaines de nos publications Facebook depuis la fin mars 2019 et que nous avions publiées Adam Richard, moi et d'autres pour AIDEF Section Québec (AIDEF-Tele.org) depuis juin 2013 à mars 2019 sur nos compte Facebook, nos 4 Pages Facebook et dans les divers groupes Facebook que nous administrons et où nous sommes modérateurs et/ou membres, et ce, par le simple fait que ces pédocriminels harceleurs calomniateurs censureurs de chez Facebook ont mis toutes les publications, vidéos et commentaires contenant des liens de mon défunt BlogSpot "http://lesaventuresdeladangereusemino.blogspot.ca" (qui a été censuré et supprimé par les pédocriminels pro-Francs-Maçons de chez Google Inc. [qui gèrent YouTube, Blogspot, Google+, GMail, etc.] tout aussi criminellement et inconstitutionnellement le 31 octobre 2016 au soir pour aucun motif et sans aucun préavis ni avis ni courriel; Cf. dans le menu [Accueil] de AIDEF-Tele.org pour plus de précision) comme présumément NE RESPECTANT PAS LES NORMES ... non écrites francs-maçonnes, sataniques et pédocriminelles et non pas leurs normes très bien écrites et publiques, car UNE PUBLICATION, UNE VIDÉO ET/OU UN COMMENTAIRE FACEBOOK CONTENANT UN LIEN QUI ENVOIE VERS UN BLOG SUPPRIMÉ ne peut aucunement contrevenir à quelque règle réelle ou imaginaire quelle qu'elle soit, même celle pouvant être inventée par des tarés illuminés de cette COMMUNAUTÉ FACEBOOK clairement pédocriminelle pro-riches pédos Francs-Maçons qui travaillent et/ou administrent Facebook Montréal (chapeauté par Facebook Canada qui sont dirigés par le satanique Français Damien Duprat [https://www.facebook.com/photo.php?fbid=10151064201022629&set=a.10150376855057629&type=3&theater
et https://www.linkedin.com/in/damienduprat/] venu nous écoeurer au Québec depuis avril 2013 à partir de Montréal et par son acolyte Me David William Kling et al. qui sont tous sous la gouverne de Facebook, Inc. en Californie avec les administrateurs Mark Zuckenberg et ses acolytes avocats, dont le même Me David William Kling qui lui, gère quasiment tous les Facebook dans le monde entier ... ??)
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Source: Forum "I Was a Paid Internet Shill"
ExShill
posted on Apr, 3 2012 @ 10:30 PM
"I am writing here to come out of the closet as a paid shill. For a little over six months, I was paid to spread disinformation and argue political points on the Internet. This site, ATS, was NOT one that I was assigned to post on, although other people in the same organization were paid to be here, and I assume they still walk among you. But more on this later.
I quit this job in the latter part of 2011, because I became disgusted with it, and with myself. I realized I couldn’t look myself in the mirror anymore. If this confession triggers some kind of retribution against me, so be it. Part of being a real man in this world is having real values that you stand up for, no matter what the consequences.
My story begins in early 2011. I had been out of work for almost a year after losing my last job in tech support. Increasingly desperate and despondent, I jumped at the chance when a former co-worker called me up and said she had a possible lead for me. “It is an unusual job, and one that requires secrecy. But the pay is good. And I know you are a good writer, so its something you are suited for.” (Writing has always been a hobby for me). She gave me only a phone-number and an address, in one of the seedier parts of San Francisco, where I live. intrigued, I asked her for the company’s URL and some more info. She laughed. “They don’t have a website. Or even a name. You’ll see. Just tell them I referred you.” Yes, it sounded suspicious, but long-term joblessness breeds desperation, and desperation has a funny way of overlooking the suspicious when it comes to putting food on the table.
The next day, I arrived at the address – the third floor in a crumbling building. The appearance of the place did not inspire confidence. After walking down a long, filthy linoleum-covered corridor lit by dimly-flickering halogen, I came to the entrance of the office itself: a crudely battered metal door with a sign that said “United Amalgamated Industries, Inc.” I later learned that this “company” changed its name almost monthly, always using bland names like that which gave no strong impression of what the company actually does. Not too hopeful, I went inside. The interior was equally shabby. There were a few long tables with folding chairs, at which about a dozen people were tapping away on old, beat-up computers. There were no decorations or ornaments of any type: not even the standard-issue office fica trees or plastic ferns. What a dump. Well, beggars can’t be choosers.
The manager, a balding man in his late forties, rose from the only stand-alone desk in the room and came forward with an easy smile. “You must be Chris. Yvette [my ex-co-worker] told me you’d be coming.” [Not our real names]. “Welcome. Let me tell you a little about what we do.” No interview, nothing. I later learned they took people based solely on referral, and that the people making the referrals, like my ex-colleague Yvette, were trained to pick out candidates based on several factors including ability to keep one’s mouth shut, basic writing skills, and desperation for work.
We sat down at his desk and he began by asking me a few questions about myself and my background, including my political views (which were basically non-existent). Then he began to explain the job. “We work on influencing people’s opinions here,” is how he described it. The company’s clients paid them to post on Internet message boards and popular chartrooms, as well as in gaming forums and social networks like Facebook and MySpace. Who were these clients? “Oh, various people,” he said vaguely. “Sometimes private companies, sometimes political groups.” Satisfied that my political views were not strong, he said I would be assigned to political work. “The best people for this type of job are people like you, without strong views,” he said with a laugh. “It might seem counterintuitive, but actually we’ve found that to be the case.” Well, OK. Fine. As long as it comes with a steady paycheck, I’d believe whatever they wanted me to believe, as the guy in Ghostbusters said.
After discussing pay (which was much better than I’d hoped) and a few other details, he then went over the need for absolute privacy and secrecy. “You can’t tell anyone what we do here. Not your wife, not your dog.” (I have neither, as it happens.) “We’ll give you a cover story and even a phone number and a fake website you can use. You will have to tell people you are a consultant. Since your background is in tech support, that will be your cover job. Is this going to be a problem for you?” I assured him it would not. “Well, OK. Shall we get started?”
“Right now?” I asked, a bit taken aback.
“No time like the present!” he said with a hearty laugh.
Continued in the next post"
"I am writing here to come out of the closet as a paid shill. For a little over six months, I was paid to spread disinformation and argue political points on the Internet. This site, ATS, was NOT one that I was assigned to post on, although other people in the same organization were paid to be here, and I assume they still walk among you. But more on this later.
I quit this job in the latter part of 2011, because I became disgusted with it, and with myself. I realized I couldn’t look myself in the mirror anymore. If this confession triggers some kind of retribution against me, so be it. Part of being a real man in this world is having real values that you stand up for, no matter what the consequences.
My story begins in early 2011. I had been out of work for almost a year after losing my last job in tech support. Increasingly desperate and despondent, I jumped at the chance when a former co-worker called me up and said she had a possible lead for me. “It is an unusual job, and one that requires secrecy. But the pay is good. And I know you are a good writer, so its something you are suited for.” (Writing has always been a hobby for me). She gave me only a phone-number and an address, in one of the seedier parts of San Francisco, where I live. intrigued, I asked her for the company’s URL and some more info. She laughed. “They don’t have a website. Or even a name. You’ll see. Just tell them I referred you.” Yes, it sounded suspicious, but long-term joblessness breeds desperation, and desperation has a funny way of overlooking the suspicious when it comes to putting food on the table.
The next day, I arrived at the address – the third floor in a crumbling building. The appearance of the place did not inspire confidence. After walking down a long, filthy linoleum-covered corridor lit by dimly-flickering halogen, I came to the entrance of the office itself: a crudely battered metal door with a sign that said “United Amalgamated Industries, Inc.” I later learned that this “company” changed its name almost monthly, always using bland names like that which gave no strong impression of what the company actually does. Not too hopeful, I went inside. The interior was equally shabby. There were a few long tables with folding chairs, at which about a dozen people were tapping away on old, beat-up computers. There were no decorations or ornaments of any type: not even the standard-issue office fica trees or plastic ferns. What a dump. Well, beggars can’t be choosers.
The manager, a balding man in his late forties, rose from the only stand-alone desk in the room and came forward with an easy smile. “You must be Chris. Yvette [my ex-co-worker] told me you’d be coming.” [Not our real names]. “Welcome. Let me tell you a little about what we do.” No interview, nothing. I later learned they took people based solely on referral, and that the people making the referrals, like my ex-colleague Yvette, were trained to pick out candidates based on several factors including ability to keep one’s mouth shut, basic writing skills, and desperation for work.
We sat down at his desk and he began by asking me a few questions about myself and my background, including my political views (which were basically non-existent). Then he began to explain the job. “We work on influencing people’s opinions here,” is how he described it. The company’s clients paid them to post on Internet message boards and popular chartrooms, as well as in gaming forums and social networks like Facebook and MySpace. Who were these clients? “Oh, various people,” he said vaguely. “Sometimes private companies, sometimes political groups.” Satisfied that my political views were not strong, he said I would be assigned to political work. “The best people for this type of job are people like you, without strong views,” he said with a laugh. “It might seem counterintuitive, but actually we’ve found that to be the case.” Well, OK. Fine. As long as it comes with a steady paycheck, I’d believe whatever they wanted me to believe, as the guy in Ghostbusters said.
After discussing pay (which was much better than I’d hoped) and a few other details, he then went over the need for absolute privacy and secrecy. “You can’t tell anyone what we do here. Not your wife, not your dog.” (I have neither, as it happens.) “We’ll give you a cover story and even a phone number and a fake website you can use. You will have to tell people you are a consultant. Since your background is in tech support, that will be your cover job. Is this going to be a problem for you?” I assured him it would not. “Well, OK. Shall we get started?”
“Right now?” I asked, a bit taken aback.
“No time like the present!” he said with a hearty laugh.
Continued in the next post"
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ExShill
posted on Apr, 3 2012 @ 10:32 PM
"The rest of the day was taken up with training. Another staff member, a no-nonsense woman in her thirties, was to be my trainer, and training would only last two days. “You seem like a bright guy, you’ll get the hang of it pretty fast, I think,” she said. And indeed, the job was easier than I’d imagined. My task was simple: I would be assigned to four different websites, with the goal of entering certain discussions and promoting a certain view. I learned later that some of the personnel were assigned to internet message boards (like me), while others worked on Facebook or chatrooms. It seems these three types of media each have different strategy for shilling, and each shill concentrates on one of the three in particular.
My task? “To support Israel and counter anti-Israeli, anti-Semitic posters.” Fine with me. I had no opinions one way or another about Israel, and who likes anti-Semites and Nazis? Not me, anyway. But I didn’t know too much about the topic. “That’s OK,” she said. “You’ll pick it up as you go along. For the most part, at first, you will be doing what we call “meme-patrol.” This is pretty easy. Later if you show promise, we’ll train you for more complex arguments, where more in-depth knowledge is necessary.”
She handed me two binders with sheets enclosed in limp plastic. The first was labeled simply “Israel” in magic-marker on the cover, and it had two sections .The first section contained basic background info on the topic. I would have to read and memorize some of this, as time went on. It had internet links for further reading, essays and talking points, and excerpts from some history books. The second, and larger, section was called “Strat” (short for “strategy”) with long lists of “dialogue pairs.” These were specific responses to specific postings. If a poster wrote something close to “X,” we were supposed to respond with something close to “Y.” “You have to mix it up a bit, though,” said my trainer. “Otherwise it gets too obvious. Learn to use a thesaurus.” This section also contained a number of hints for de-railing conversations that went too far away from what we were attempting. These strategies included various forms of personal attacks, complaining to the forum moderators, smearing the characters of our opponents, using images and icons effectively, and even dragging the tone of the conversation down with sexual innuendo, links to pornography, or other such things. “Sometimes we have to fight dirty,” or trainer told us. “Our opponents don’t hesitate to, so we can’t either.”
The second binder was smaller, and it contained information specific to the web sites I would be assigned to. The sites I would work were: Godlike Productions, Lunatic Outpost, CNN news, Yahoo News, and a handful of smaller sites that rotated depending on need. As stated, I was NOT assigned to work ATS (although others in my group were), which is part of the reason I am posting this here, rather than elsewhere. I wanted to post this on Godlike Productions at first, but they have banned me from even viewing that site for some reason (perhaps they are onto me?). But if somebody connected with this site can get the message to them, I think they should know about it, because that was the site I spent a good 70% of my time working on.
The site-specific info in the second binder included a brief history each site, including recent flame-wars, as well as info on what to avoid on each site so as not to get banned. It also had quite detailed info on the moderators and the most popular regged posters on each site: location (if known), personality type, topics of interest, background sketch, and even some notes on how to “push the psychological buttons” of different posters. Although I didn’t work for ATS, I did see they had a lot of info on your so-called “WATS” posters here (the ones with gold borders around their edges). “Focus on the popular posters,” my trainer told me. “These are the influential ones. Each of these is worth 50 to 100 of the lesser known names.” Each popular poster was classified as “hostile,” “friendly,” or “indifferent” to my goal. We were supposed to cultivate friendship with the friendly posters as well as the mods (basically, by brownnosing and sucking up), and there were even notes on strategies for dealing with specific hostile posters. The info was pretty detailed, but not perfect in every case. “If you can convert one of the hostile posters from the enemy side to our side, you get a nice bonus. But this doesn’t happen too often, sadly. So mostly you’ll be attacking them and trying to smear them.”
Continued in the next post"
ExShill
posted on Apr, 3 2012 @ 10:32 PM
"The rest of the day was taken up with training. Another staff member, a no-nonsense woman in her thirties, was to be my trainer, and training would only last two days. “You seem like a bright guy, you’ll get the hang of it pretty fast, I think,” she said. And indeed, the job was easier than I’d imagined. My task was simple: I would be assigned to four different websites, with the goal of entering certain discussions and promoting a certain view. I learned later that some of the personnel were assigned to internet message boards (like me), while others worked on Facebook or chatrooms. It seems these three types of media each have different strategy for shilling, and each shill concentrates on one of the three in particular.
My task? “To support Israel and counter anti-Israeli, anti-Semitic posters.” Fine with me. I had no opinions one way or another about Israel, and who likes anti-Semites and Nazis? Not me, anyway. But I didn’t know too much about the topic. “That’s OK,” she said. “You’ll pick it up as you go along. For the most part, at first, you will be doing what we call “meme-patrol.” This is pretty easy. Later if you show promise, we’ll train you for more complex arguments, where more in-depth knowledge is necessary.”
She handed me two binders with sheets enclosed in limp plastic. The first was labeled simply “Israel” in magic-marker on the cover, and it had two sections .The first section contained basic background info on the topic. I would have to read and memorize some of this, as time went on. It had internet links for further reading, essays and talking points, and excerpts from some history books. The second, and larger, section was called “Strat” (short for “strategy”) with long lists of “dialogue pairs.” These were specific responses to specific postings. If a poster wrote something close to “X,” we were supposed to respond with something close to “Y.” “You have to mix it up a bit, though,” said my trainer. “Otherwise it gets too obvious. Learn to use a thesaurus.” This section also contained a number of hints for de-railing conversations that went too far away from what we were attempting. These strategies included various forms of personal attacks, complaining to the forum moderators, smearing the characters of our opponents, using images and icons effectively, and even dragging the tone of the conversation down with sexual innuendo, links to pornography, or other such things. “Sometimes we have to fight dirty,” or trainer told us. “Our opponents don’t hesitate to, so we can’t either.”
The second binder was smaller, and it contained information specific to the web sites I would be assigned to. The sites I would work were: Godlike Productions, Lunatic Outpost, CNN news, Yahoo News, and a handful of smaller sites that rotated depending on need. As stated, I was NOT assigned to work ATS (although others in my group were), which is part of the reason I am posting this here, rather than elsewhere. I wanted to post this on Godlike Productions at first, but they have banned me from even viewing that site for some reason (perhaps they are onto me?). But if somebody connected with this site can get the message to them, I think they should know about it, because that was the site I spent a good 70% of my time working on.
The site-specific info in the second binder included a brief history each site, including recent flame-wars, as well as info on what to avoid on each site so as not to get banned. It also had quite detailed info on the moderators and the most popular regged posters on each site: location (if known), personality type, topics of interest, background sketch, and even some notes on how to “push the psychological buttons” of different posters. Although I didn’t work for ATS, I did see they had a lot of info on your so-called “WATS” posters here (the ones with gold borders around their edges). “Focus on the popular posters,” my trainer told me. “These are the influential ones. Each of these is worth 50 to 100 of the lesser known names.” Each popular poster was classified as “hostile,” “friendly,” or “indifferent” to my goal. We were supposed to cultivate friendship with the friendly posters as well as the mods (basically, by brownnosing and sucking up), and there were even notes on strategies for dealing with specific hostile posters. The info was pretty detailed, but not perfect in every case. “If you can convert one of the hostile posters from the enemy side to our side, you get a nice bonus. But this doesn’t happen too often, sadly. So mostly you’ll be attacking them and trying to smear them.”
Continued in the next post"
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ExShill
posted on Apr, 3 2012 @ 10:33 PM
"At first, like I said, my job was “meme-patrol.” This was pretty simple and repetitive; it involved countering memes and introducing new memes, and didn’t demand much in-depth knowledge of the subject. Mostly just repetitive posting based on the dialogue pairs in the “Strat” section of the first binder. A lot of my job was de-railing and spamming threads that didn’t go our way, or making accusations of racism and anti-Semitism. Sometimes I had to simply lie and claim a poster said something or did something “in another thread” they really hadn’t said or done I felt bad about this…but in the end I felt worse about the possibility of losing the first job I’d been able to get since losing my “real” job.
The funny thing was, although I started the job with no strong opinions or political views, after a few weeks of this I became very emotionally wedded to the pro-Israel ideas I was pushing. There must be some psychological factor at work…a good salesman learns to honestly love the products he’s selling, I guess. It wasn’t long before my responses became fiery and passionate, and I began to learn more about the topic on my own. “This is a good sign,” my trainer told me. “It means you are ready for the next step: complex debate.”
The “complex debate” part of the job involved a fair amount of additional training, including memorizing more specific information about the specific posters (friendly and hostile) I’d be sparring with. Here, too, there were scripts and suggested lines of argument, but we were given more freedom. There were a lot of details to this more advanced stage of the job – everything from how to select the right avatar to how to use “demotivationals” (humorous images with black borders that one finds floating around the web). Even the proper use of images of cats was discussed. Sometimes we used faked or photo-shopped images or doctored news reports (something else that bothered me).
I was also given the job of tying to find new recruits, people “like me” who had the personality type, ability to keep a secret, basic writing/thinking skills, and desperation necessary to sign on a shill. I was less successful at this part of the job, though, and I couldn’t find another in the time I was there.
After a while of doing this, I started to feel bad. Not because of the views I was pushing (as I said, I was first apolitical, then pro-Israel), but because of the dishonesty involved. If my arguments were so correct, I wondered, why did we have to do this in the first place? Shouldn’t truth propagate itself naturally, rather than through, well…propaganda? And who was behind this whole operation, anyway? Who was signing my paychecks? The stress of lying to my parents and friends about being a “consultant” was also getting to me. Finally, I said enough was enough. I quit in September 2011. Since then I’ve been working a series of unglamorous temp office jobs for lower pay. But at least I’m not making my living lying and heckling people who come online to express their views and exercise freedom of speech.
A few days ago I happened to be in the same neighborhood and on a whim thought I’d check out the old office. It turns out the operation is gone, having moved on. This, too, I understood, is part of their strategy: Don’t stay in the same place for too long, don’t keep the same name too long, move on after half a year or so. Keeping a low profile, finding new employees through word of mouth: All this is part of the shill way of life. But it is a deceptive way of life, and no matter how noble the goals (I remain pro-Israel, by the way), these sleazy means cannot be justified by the end.
This is my confession. I haven’t made up my mind yet about whether I want to talk more about this, so if I don’t respond to this thread, don’t be angry. But I think you should know: Shills exist. They are real. They walk among you, and they pay special attention to your popular gold-bordered WATS posters. You should be aware of this. What you choose to do with this awareness is up to you.
Yours,
ExShill
April 2012"
The funny thing was, although I started the job with no strong opinions or political views, after a few weeks of this I became very emotionally wedded to the pro-Israel ideas I was pushing. There must be some psychological factor at work…a good salesman learns to honestly love the products he’s selling, I guess. It wasn’t long before my responses became fiery and passionate, and I began to learn more about the topic on my own. “This is a good sign,” my trainer told me. “It means you are ready for the next step: complex debate.”
The “complex debate” part of the job involved a fair amount of additional training, including memorizing more specific information about the specific posters (friendly and hostile) I’d be sparring with. Here, too, there were scripts and suggested lines of argument, but we were given more freedom. There were a lot of details to this more advanced stage of the job – everything from how to select the right avatar to how to use “demotivationals” (humorous images with black borders that one finds floating around the web). Even the proper use of images of cats was discussed. Sometimes we used faked or photo-shopped images or doctored news reports (something else that bothered me).
I was also given the job of tying to find new recruits, people “like me” who had the personality type, ability to keep a secret, basic writing/thinking skills, and desperation necessary to sign on a shill. I was less successful at this part of the job, though, and I couldn’t find another in the time I was there.
After a while of doing this, I started to feel bad. Not because of the views I was pushing (as I said, I was first apolitical, then pro-Israel), but because of the dishonesty involved. If my arguments were so correct, I wondered, why did we have to do this in the first place? Shouldn’t truth propagate itself naturally, rather than through, well…propaganda? And who was behind this whole operation, anyway? Who was signing my paychecks? The stress of lying to my parents and friends about being a “consultant” was also getting to me. Finally, I said enough was enough. I quit in September 2011. Since then I’ve been working a series of unglamorous temp office jobs for lower pay. But at least I’m not making my living lying and heckling people who come online to express their views and exercise freedom of speech.
A few days ago I happened to be in the same neighborhood and on a whim thought I’d check out the old office. It turns out the operation is gone, having moved on. This, too, I understood, is part of their strategy: Don’t stay in the same place for too long, don’t keep the same name too long, move on after half a year or so. Keeping a low profile, finding new employees through word of mouth: All this is part of the shill way of life. But it is a deceptive way of life, and no matter how noble the goals (I remain pro-Israel, by the way), these sleazy means cannot be justified by the end.
This is my confession. I haven’t made up my mind yet about whether I want to talk more about this, so if I don’t respond to this thread, don’t be angry. But I think you should know: Shills exist. They are real. They walk among you, and they pay special attention to your popular gold-bordered WATS posters. You should be aware of this. What you choose to do with this awareness is up to you.
Yours,
ExShill
April 2012"

EN COMPLÉMENT, je vous réfère vers un très bon article du 2 août 2012 de Korben, soit "Les techniques secrètes pour contrôler les forums et l’opinion publique" et dont voici un extrait :
''CONCLUSION
Souvenez-vous bien que ces techniques ne sont efficaces que si les participants du forum NE LES CONNAISSENT PAS. Une fois qu’ils ont été mis au courant, l’opération peut complètement échouer et le forum va devenir incontrôlable. À ce moment, d’autres alternatives doivent être considérées, comme initier un faux problème juridique pour simplement faire fermer le forum et le mettre hors ligne. Cela n’est pas désirable, car cela empêche les agences du maintien de l’ordre de surveiller le pourcentage de la population qui s’oppose toujours au contrôle. Bien d’autres techniques peuvent être utilisées et développées et, au fur et à mesure que vous développez de nouvelles techniques d’infiltration et de contrôle, il est impératif de les partager avec le QG.''
''4. Utilisez un argument épouvantail. Trouvez en un et créez un élément dans l’argumentation de votre adversaire que vous pouvez facilement contrer pour vous faire bien voir et pour ridiculiser l’adversaire. Soit vous créez un problème dont vous insinuez l’existence en vous appuyant sur l’interprétation de l’adversaire/sur l’argumentation de l’adversaire/sur la situation, ou sélectionnez l’aspect le plus faible des charges les plus faibles. Amplifiez leur impact et détruisez-les d’une façon discréditante toutes les charges, réelles et fabriquées, tout en évitant de parler des véritables problèmes.
5. Écartez vos adversaires en leur donnant des surnoms et en les ridiculisant. Cela est aussi connu comme étant le stratagème " attaquer le messager ", bien que d’autres méthodes soient des variantes de cette approche. Associez les adversaires avec des noms peu flatteurs comme " fou ", " partisan de droite ", " libéral ", " partisan de gauche ", " terroriste ", " adorateurs de complots ", " radicaux ", " miliciens ", " racistes ", " fanatiques religieux ", " déviants sexuels " et bien d’autres. Cela permet d’empêcher les autres d’éventuellement s’associer à vos adversaires de peur de se faire traiter de la même façon et vous évitez donc de parler des vrais problèmes.
...
7. Motifs d’interrogation. Amplifiez chaque fait qui pourrait laisser penser que l’adversaire opère selon un parti pris. Cela évite de parler des problèmes et oblige l’accusateur à se mettre sur la défensive.
8. Invoquez l’autorité. Prétendez que vous faites partie de l’autorité ou associez-vous avec celle-ci en utilisant assez de jargon et de termes pour illustrer que vous êtes " celui qui sait " et discréditez tous les propos sans parler des problèmes ni démontrer pourquoi ou citer des sources.
9. Jouez à l’abruti. Peu importe quels sont les arguments ou les preuves sur la table, évitez de parler des problèmes sauf pour les discréditer, dire que cela n’a aucun sens, ne contient aucune preuve, n’a aucun intérêt ou est illogique. Mélangez bien pour un effet maximal.
Etc. Etc. Etc. très très intéressant''
Souvenez-vous bien que ces techniques ne sont efficaces que si les participants du forum NE LES CONNAISSENT PAS. Une fois qu’ils ont été mis au courant, l’opération peut complètement échouer et le forum va devenir incontrôlable. À ce moment, d’autres alternatives doivent être considérées, comme initier un faux problème juridique pour simplement faire fermer le forum et le mettre hors ligne. Cela n’est pas désirable, car cela empêche les agences du maintien de l’ordre de surveiller le pourcentage de la population qui s’oppose toujours au contrôle. Bien d’autres techniques peuvent être utilisées et développées et, au fur et à mesure que vous développez de nouvelles techniques d’infiltration et de contrôle, il est impératif de les partager avec le QG.''
''4. Utilisez un argument épouvantail. Trouvez en un et créez un élément dans l’argumentation de votre adversaire que vous pouvez facilement contrer pour vous faire bien voir et pour ridiculiser l’adversaire. Soit vous créez un problème dont vous insinuez l’existence en vous appuyant sur l’interprétation de l’adversaire/sur l’argumentation de l’adversaire/sur la situation, ou sélectionnez l’aspect le plus faible des charges les plus faibles. Amplifiez leur impact et détruisez-les d’une façon discréditante toutes les charges, réelles et fabriquées, tout en évitant de parler des véritables problèmes.
5. Écartez vos adversaires en leur donnant des surnoms et en les ridiculisant. Cela est aussi connu comme étant le stratagème " attaquer le messager ", bien que d’autres méthodes soient des variantes de cette approche. Associez les adversaires avec des noms peu flatteurs comme " fou ", " partisan de droite ", " libéral ", " partisan de gauche ", " terroriste ", " adorateurs de complots ", " radicaux ", " miliciens ", " racistes ", " fanatiques religieux ", " déviants sexuels " et bien d’autres. Cela permet d’empêcher les autres d’éventuellement s’associer à vos adversaires de peur de se faire traiter de la même façon et vous évitez donc de parler des vrais problèmes.
...
7. Motifs d’interrogation. Amplifiez chaque fait qui pourrait laisser penser que l’adversaire opère selon un parti pris. Cela évite de parler des problèmes et oblige l’accusateur à se mettre sur la défensive.
8. Invoquez l’autorité. Prétendez que vous faites partie de l’autorité ou associez-vous avec celle-ci en utilisant assez de jargon et de termes pour illustrer que vous êtes " celui qui sait " et discréditez tous les propos sans parler des problèmes ni démontrer pourquoi ou citer des sources.
9. Jouez à l’abruti. Peu importe quels sont les arguments ou les preuves sur la table, évitez de parler des problèmes sauf pour les discréditer, dire que cela n’a aucun sens, ne contient aucune preuve, n’a aucun intérêt ou est illogique. Mélangez bien pour un effet maximal.
Etc. Etc. Etc. très très intéressant''
Et si vous désirez comprendre plus vite sans devoir l'expérimenté vous-même pour vous en protéger, et ce, avec des exemples in vivo toujours d'actualités avec de vrais de vrais salopards de TRAÎTRES-TAUPES-TROLLS pervers, hypocrites, harceleurs, calomniateurs, cyber-intimidateurs et pédocriminels en action dans la vraie vie et sur Internet et qui sont au service et aidés, encouragés, protégés, récompensés et même payés par cette Mafia Pédocriminelle Franc-Maçonne d'État in the Québex qui contrôle tous les pouvoirs de l'État du Québec et du Canada ainsi qu'ailleurs dans le monde tant aux niveaux économiques, mérdiatiques (incluant les Mérdias traditionelles, les médias sociaux, les chaînes vidéos et les moteurs de recherche sur Internet qui appartiennent et/ou sont au service des riches pédocriminels Francs-Maçons), exécutifs, législatifs et judiciaires dans des jeux de rôles de manipulations et propagandes hautement perverses et criminelles, voire terroristes, faites par des minables lâches pervers mythomanes égocentriques et mercantiles aux comportements de psychopathes, et surtout, qui sont aidés en réseau par leurs acolytes pédocriminels sous la supervision de cette Mafia Pédocriminlle d'État chapeautée par le Barreau du Québex (avec ses Avocats=Lawyers=Liars=Menteurs=Juges post-it pédocriminels Francs-Maçons et son Conseil d'administration bidon où les membres représentants présumément le public sont tous des anciens fonctionnaires ou autres minables sous-fifres larbins de service égoïstes et mercantiles de l'État et/ou au service des Banksters et qui sont prêts à vendre leur Âme et la vie de leur propre enfant au plus offrant pour satisfaire tous leurs plaisirs les plus vils, pervers et malsains... On n'a plus le public qu'on avait hein !?! ... En fait, dans la réalité, le public est rendu les fonctionnairs et les citoyen(ne)s leurs marchandises d'esclavage et de profits $$$$$$ c'est tout!) pour ce qui concerne l'esclavage coloniale des riches Francs-Maçons in the Québex : harcèlement de groupe, intimidation et propagandes diffamatoires de groupe extrêmement calomnieuses aidés de leurs Mérdias traditionnels et alternatifs, sans aucune preuve évidemment, envers tous ceux qui les dénoncent avec des preuves irréfutables à l'appui tel que je le subis moi-même depuis 2010 et tel que mon collègue Adam Richard et l'AIDEF Section Québec (AIDEF-Télé), ses membres et ceux de ma famille et plusieurs de mes ami(e)s le subissons depuis mars 2013 ; censures ciblées, sournoises, arbitraires, illégales, criminelles et inconstitutionelles; shadow banning; manipulations des statistiques des cliques "J'aime" et du "nombre de vues et/ou consultations" (augmentation ou baisse et/ou blocage des compteurs pour faire croire à un intérêt ou un désintérêt du public afin de l'influencer criminellement par la malversations) par leurs complices pédocriminels chez Facebook Montréal (Facebook Canada qui sont dirigé par le satanique Français Damien Duprat venu nous écoeurer au Québec depuis avril 2013 à partir de Montréal et par Me David William Kling et al. qui sont tous sous la gouverne de Facebook, Inc. en Californie avec les administrateurs Mark Zuckenberg et ses acolytes avocats dont le même Me David William Kling qui lui, gère quasiment tous les Facebook dans le monde entier ... 😠), chez Google Inc. (YouTube, BlogSpot, GMail, etc.), Vimeo, etc. de complices pédocriminels et sous-fifres larbins de service de cette Organisation Pédocriminelle Terroriste Étatique Internationale Franc-Maçonne, et bien, je vous recommande fortement d'aller voir ce qui suit :
Compte Facebook : https://www.facebook.com-mario.roy.3158
Page Facebook "Centre d'entraide familial l'Unité" de janvier 2016 au 26 mars 2018 où le nom est devenu "L'unité Citoyenne D'enquêtes Anti-Corruption" (une vraie farce plate et sadique de pervers aux comportements de pychopathe quand on sait que ces bandits de Mario Roy et sa mario-neth Thao Neth collaborent avec ce réseau pédocriminel Franc-Maçon d'État in the Québex afin de tenter de me discréditer par la diffusion de graves libelles diffamatoires calomnieux et leurs pleine connaissance de faux jugements, même inexistants et jamais érits ni signés par un juge, et donc, totalement illégaux, criminels et inconstitutionnels juste par le fait que tout est totalement faux et non fondé en fait(s) et en droit et ne sont en faits que de nombreux graves parjures hautement terroristes à mon endroit, ce qui est prouvé hors de tout doute raisonnable sur Internet depuis 2013, donc sans une seule petite preuve de quoi que ce soit contre moi hormis des sales mensonges criminels et terroristes totalement inventés et contredits plus d'une fois par eux-mêmes et même devant une Cour bidon de sales pédos qui les en a encouragé , protégé et aidé, et surtout, sans aucun respect des procédures et lois pourtant en vigueur et en bafouant totalement tous mes droits fondamentaux jusqu'à tenter de me tuer à 5 reprises pendant qu'ils me détenaient comme leur prisonnière politique de façon arbitraire, criminelle et totalement inconstitutionnelle à la Prison Tanguay entre le 15 octobre 2013 et le 2 décembre 2014 sans que je n'ai commis un seul crime de toute ma vie, sans aucune plainte officielle avec No. d'évenement attitré tel que l'oblige pourtant la loi et malgré que mes droits fondamentaux sont pourtant protégés par la Loi suprême au Québec et au Canada avec sa Charte canadienne des droits et libertés imbriquée dans la Constitution de l'État du Québec et du Canada) et où toute trace des anciens "Avis", publications et commentaires le dénonçant ou le mettant à jour dans son visage à deux faces ont été rectifiés et/ou effacés avec l'aide de mafieux pédocriminels de chez Facebook :
https://www.facebook.com/lunitecitoyenneenquetesanticorruption
https://www.facebook.com/lunitecitoyenneenquetesanticorruption

Aller voir l'article "Le Cirque de Mario Roy" pour voir de par vous-même plusieurs preuves irréfutables de nombreux crimes commis avec aide, encouragement et protection de l'État du Québex et du Canada envers mon collègue Adam Richard, moi-même, ma famille et des membres de l'AIDEF Section Québec (AIDEF-Tele.org) depuis 2013 jusqu'à aujourd'hui par Mario Roy et plusieurs complices de ce sale pervers pédocriminel harceleur calomniateur cyber-intimidateur d'une famille de pédos Francs-Maçons (qui contrôle le système judiciaire, les Mérdias, etc.) tels que sa mario-neth Thao Neth, Karine Darcy, Jean Robert alias Jean Batailleur qui gère le groupe bidon Piège-à-victimes "Assez du DPJ" et son Site bidon Pièges-à- Victimes "Assez du DPJ", Lagora Doba avec son groupe bidon Piège-à-Victime "Demande pour une enquête publique sur la DPJ" pour faire tourner en rond les vraies victimes, les vrais activistes et la population afin de les rendre confus, de les manipuler, de les piéger et surtout, de les ramener vers les Mérdias et les fonctionnaires pervers Francs-Maçons de l'État du Québex, S.S. alias Nathalie Bergeron, Sylvain Paquette, Hermil Lebel, etc. etc. etc. de TDC au service de leurs propres intérêts puérils égoïstes et mercantiles et de cette sale Secte satanique étatique internationale franc-maçonne ...
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Rock Larochelle
Compte Fb : https://www.facebook.com/rock.larochelle?fref=ts
Page Fb : https://www.facebook.com/Rock-Larochelle-Justice-pour-tous-552756144840227/?fref=ts
Autres preuves de crimes commis par ce policier pervers mafieux pédocriminel de la SQ : https://web.archive.org/web/20160215234405/http://lesaventuresdeladangereusemino.blogspot.ca/2015/12/2-membres-actifs-de-la-mafia.html
http://lesaventuresdeladangereusemino.blogspot.ca/2015/12/2-membres-actifs-de-la-mafia.html





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À voir, les commentaires du 29 juillet 2015 à 22h40 ainsi que les réponses qui le suivent faites par le pervers manipulateur calomniateur cyber-intimidateur Traître-Taupe-Troll Jacques Desrosiers au service de la Secte satanique Franc-Maçonne et qui est nommé dans les menaces de Rock Larochelle sur l'image ci-haut.


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Jean-Francois Fortin
et al. de l'arnaque Le Grand Jury du Peuple du Canada
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